cosignée par Valérie Bazin-Malgras, Anne-Laure Blin, Émilie Bonnivard, Jean-Yves Bony, Jean-Luc Bourgeaux, Hubert Brigand, Dino Cinieri, Pierre Cordier, Josiane Corneloup, Marie-Christine Dalloz, Vincent Descoeur, Francis Dubois, Nicolas Forissier, Jean-Jacques Gaultier, Victor Habert-Dassault, Meyer Habib, Michel Herbillon, Philippe Juvin, Mansour Kamardine, Marc Le Fur, Alexandra Martin, Maxime Minot, Yannick Neuder, Éric Pauget, Isabelle Périgault, Alexandre Portier, Vincent Rolland, Raphaël Schellenberger, Nathalie Serre, Michèle Tabarot, Jean-Pierre Taite, Jean-Louis Thiériot, Jean-Pierre Vigier & Alexandre Vincendet
Mesdames, Messieurs, Lors du débat du second tour des présidentielles opposant Emmanuel Macron à Marine Le Pen, le Président sortant a affirmé : « J’ai mis fin à la fermeture des classes, sans l’accord du maire ». Une telle affirmation était‑elle le reflet de la politique menée durant le quinquennat ? En 2019, lors des conclusions du Grand débat, Emmanuel Macron avait annoncé un moratoire à la fermeture, non pas de classes, mais d’écoles du premier degré jusqu’à la fin du quinquennat.
Il avait alors affirmé qu’aucune école rurale ne serait fermée sans l’accord du maire de la commune.
Cette nouvelle ne pouvait que satisfaire l’Association des maires ruraux de France après la fermeture de 1 500 écoles publiques les quatre années précédentes.
L’espoir a été de courte durée.
La promesse du Président de la République a été tenue en 2020 du fait de la crise sanitaire.
En revanche, en février 2021, devant l’Assemblée nationale et...
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