cosignée par Bénédicte Auzanot, Philippe Ballard, Christophe Barthès, José Beaurain, Christophe Bentz, Pierrick Berteloot, Emmanuel Blairy, Sophie Blanc, Pascale Bordes, Jérôme Buisson, Victor Catteau, Caroline Colombier, Annick Cousin, Nathalie Da Conceicao Carvalho, Edwige Diaz, Sandrine Dogor-Such, Nicolas Dragon, Grégoire de Fournas, Thibaut François, Stéphanie Galzy, Frank Giletti, Christian Girard, José Gonzalez, Géraldine Grangier, Daniel Grenon, Michel Guiniot, Marine Hamelet, Timothée Houssin, Alexis Jolly, Hélène Laporte, Julie Lechanteux, Gisèle Lelouis, Hervé de Lépinau, Katiana Levavasseur, Philippe Lottiaux, Matthieu Marchio, Michèle Martinez, Bryan Masson, Alexandra Masson, Kévin Mauvieux, Nicolas Meizonnet, Thomas Ménagé, Pierre Meurin, Julien Odoul, Mathilde Paris, Kévin Pfeffer, Lisette Pollet, Stéphane Rambaud, Angélique Ranc, Julien Rancoule, Laurence Robert-Dehault, Emeric Salmon, Jean-Philippe Tanguy & Lionel Tivoli
Mesdames, Messieurs, Actuellement, les fédérations départementales de chasse doivent supporter elles‑mêmes les dégâts causés par le grand gibier.
Le montant national des dégâts pris en charge par les fédérations départementales est de 77 millions d’euros par an.
Or, la subvention annuelle à la fédération nationale s’élève à 11,46 millions d’euros (2021). Le déficit est considérable.
De plus, les fédérations départementales de chasse ont une mission d’intérêt général : réguler les populations des grands gibiers sur le territoire national.
Depuis la suppression du droit d’affût et la loi de finance de 1968, votée annuellement, les chasseurs payent les dégâts liés au grand gibier.
Jusqu’à peu de temps, les montants des dégâts étaient supportables pour les fédérations départementales de chasse.
En 20 ans, il a été multiplié par 45. Ce n’est à présent plus le cas.
Avec une prolifération massive des sangliers notamment et des...
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