Élu par vous !
Il a été élu par vous !
Élue par vous !
On n'a pas voté, on n'avait pas de groupe !
Oui, mais elle a baissé !
Nous avons voté et nous avons été souverains !
Pour un écolo, il ne se soucie pas beaucoup de son empreinte carbone !
Vous, vous êtes les complices de la réélection de Macron !
Comme hier, l'extrême gauche, la NUPES
oublie pourquoi nous sommes réunis ici : il nous revient de défendre les intérêts des Français et non pas de freiner les avancées obtenues.
Certes, celles-ci sont maigres, mais la motion de rejet préalable n'a qu'un seul but : empêcher les Français de les obtenir. Vous n'avez toujours pas saisi, chers collègues, les besoins de nos concitoyens : chaque avancée, si petite soit-elle, doit arriver sans tarder dans leurs poches. C'est indispensable ; ils le réclament !
Monsieur le ministre Attal, je vous mets au défi de démontrer qu'au cours de cette discussion, le groupe Rassemblement national a voté, ne serait-ce qu'une fois, contre des avancées concrètes en faveur du pouvoir d'achat des Français.
Nous avons fait beaucoup de propositions, que vous avez refusées ; vous semblez l'oublier. Vos propos mesquins ne nous empêcheront pas de voter contre la motion de rejet préalable.
Madame la présidente, les statistiques que vous citez dans votre communication tendent souvent à comparer la situation des quartiers prioritaires à celle d'autres quartiers. Dès lors, je crains que votre première recommandation, qui est, « pour chaque dispositif de la politique de l'emploi, [de]suivre le nombre de bénéficiaires habitant en QPV et les dépenses associées et [de]fixer un objectif de résultat propre à cette population », ne conduise à transformer une comparaison en opposition. Je crains particulièrement que ne soient fixés des objectifs trop bas pour les QPV, ce qui permettra une certaine auto-satisfaction à moindres frais, ou, au contraire, des ...
Non, ils sont contre !
C'est toi qui l'as créée, la dette !
600 milliards, ce n'est pas le covid !
Personne n'a dit ça !
Pour vos amis ça s'améliore, mais pas pour les autres !
Vous avez fait de la guerre en Ukraine la principale cause de l'inflation. Or les graphiques montrent que le phénomène est antérieur – probablement lié au covid. Si l'on en croit les derniers projets de lois de finances, le Gouvernement ne subit-il pas les crises plus qu'il n'imprime sa marque à l'économie de notre pays ?
Cette disposition, entend-on parfois, instituerait une différence entre personnes célibataires et veuves. Or ces dernières ne choisissent en rien leur situation et la double peine est en effet bien réelle.
J'aimerais que vous évoquiez davantage le sujet de la dette. Vous avez fait part de votre inquiétude concernant les futures recettes des régions. Une baisse des recettes devra nécessairement être compensée, sans doute grâce à davantage d'endettement. Lorsque nous siégions ensemble à la commission des finances de la région Bretagne, vous rappeliez souvent l'importance du taux d'endettement. Si l'endettement n'était pas si grave lorsque les taux étaient bas, la situation économique a aujourd'hui largement changé.
En juillet, nous avions accepté de voter les différents mécanismes proposés, même si nous les trouvions insuffisants. Nous pensons, pour notre part, qu'il convient d'annuler les hausses de taxes sur les énergies imposées depuis 2017.
Bien sûr ! C'est notre programme !
Et vous, le pouvoir politique, vous ne faites rien !
Un autre choix est-il autorisé ?
Non, ce n'est pas ça !
On se calme !
De votre Union européenne !
Vous êtes complices !
Sauf si vous votez pour !
Le chaos, c'est eux !
Nous non plus !
C'est surtout un enterrement de première classe !
Vous voulez faire peur aux Français !
Si, la vôtre !
C'est le programme de Marine Le Pen, ça !
Ce sont les Français qui nous ont élus !
Il était socialiste !
On n'y est pas encore !
Emeric Salmon Cet amendement est le même que le précédent à ceci près qu'il porte sur un autre site et que le montant est moins important. Je m'en remets à la sagesse de l'Assemblée.
Emeric Salmon Comme sur les amendements précédents, avis favorable.
Emeric Salmon Puisqu'il s'agit d'un amendement d'appel, je donne un avis de sagesse et laisse M. le ministre vous répondre.
Emeric Salmon Je vais être bref : la commission n'a pas examiné votre amendement et, dans la mesure où j'en suis l'un des cosignataires, j'émets un avis favorable.