C'est une blague ?
Non lucratifs !
Quelles belles paroles !
Parlons-en, de l'école !
Ils vont finir par voter la censure !
Ce n'est pas ce que vient de dire le ministre !
Ce n'est pas vrai !
Eh oui, les salaires !
Ce n'est pas pareil !
C'est la vérité !
Tout le monde n'aura pas la prime !
Lesquelles ?
Mais vous êtes contre !
. Je suis syndicaliste...
Il faut le dire et le répéter car vous ne semblez pas connaître le fonctionnement des entreprises, chers collègues de la majorité !
. Les Français qui atteignent l'âge de la retraite en bonne santé n'ont qu'un revenu misérable. Dans leur vie active, ils ont un salaire pour essayer de nourrir leur famille. Une fois en retraite, c'est une catastrophe. Comment faire admettre aux Français qu'ils toucheront des primes non prises en compte dans le calcul de leur pension ? Si vous tenez à verser des primes, faites en sorte qu'elles deviennent du salaire !
. J'étais syndicaliste avant mon élection et je l'étais encore il y a très peu de temps. J'en ai fait, des grèves et des manifestations pour m'opposer au versement de primes à la place d'une augmentation de salaire. Toutes les primes ne sont pas prises en compte dans le calcul de la retraite. Les Français travaillent dur pour ces fameuses primes, mais il ne faut pas oublier qu'elles sont versées à la tête du client : elles ne sont pas fonction du travail fait ni données à tout le monde de façon équitable !
Le travail, c'est les salaires !
Dans ma circonscription aussi !
Ce n'est pas grâce à vous !
Non !
Ce sont des CDD !
Et l'ISF – impôt de solidarité sur la fortune ? Par trois fois !
Les mensonges, ce n'est pas bien !
« La vérité, toute la vérité, rien que la vérité ! », n'est-ce pas ?
C'est normal !
Quand c'est flou, il y a un loup !
Mais parce qu'elles ne le peuvent plus !
Et maintenant, elles prennent en charge la santé, puisque l'État n'est pas capable de le faire !
Tout va bien !
J'étais hier avec ma collègue Rachel Keke aux côtés des salariés du groupe Louvre Hotels où nous avons rencontré essentiellement des femmes : des femmes de chambre qui, avec courage, luttent depuis cinquante-six jours en exigeant une augmentation de salaire ainsi que l'amélioration de leurs conditions de travail.
Le constat est clair : l'inflation grimpe mais pas les salaires au sein de ce groupe. À l'image de beaucoup d'autres, ces femmes ne parviennent plus à boucler les fins de mois. Nous ne cesserons de le répéter : les salaires doivent permettre à tout un chacun de vivre dignement. C'est la raison pour laquelle nous vous proposons, par cet amendement, de relever le montant du SMIC à 1 500 euros net, en priorité pour les salariés des entreprises d'entretien. Cette augmentation est une mesure d'urgence pour les salariés de ce secteur, notamment pour ces femmes de ménage sous-payées malgré la pénibilité de leur travail, qui subissent à outrance le temps partiel. Nous ...
Nous souhaitons des augmentations de salaire durables, qui ouvrent également des droits sociaux.
Donc avis favorable ?
Ne parlez pas de démocratie !
On n'est pas aidés…
Et les accouchements ?
Ce n'est pas possible !
Le centre hospitalier sud francilien, qui assure la couverture hospitalière de 600 000 habitants en Essonne et en Seine-et-Marne, manque de 110 postes d'infirmière, de 20 postes de sage-femme et de 5 postes de kinésithérapeute. 100 lits y ferment cet été faute de personnel. Quant à la maternité, qui enregistre plus de 5 000 naissances chaque année, il y manque 25 postes de sage-femme. Plusieurs femmes enceintes ont reçu des courriers de refus de suivi de leur grossesse. Où iront-elles accoucher ? Dans des cliniques privées ou dans l'un de vos bus itinérants France Services ? En ce qui concerne le matériel, il est demandé aux collectivités de participer à ...
À l'heure où les 2 600 emplois de Camaïeu sont supprimés dans l'indifférence totale du Gouvernement, j'ai une pensée émue pour ces salariés, majoritairement des femmes, qui se retrouvent sans travail.
Et ce qu'a fait Mme Bergé, c'était sain ?
Vous avez lu le texte ?
Il faut travailler !
Par cet amendement, nous proposons symboliquement de ne pas ratifier l'ordonnance no 2020-323 du 25 mars 2020 portant mesures d'urgence en matière de congés payés, de durée du travail et de jours de repos. Une semaine après le premier confinement, le Gouvernement a profité de la déstabilisation du pays pour imposer par ordonnance des dérogations temporaires au code du travail. L'ordonnance en question a permis à l'employeur d'imposer « la prise, à des dates déterminées par lui, de jours de repos » ou d'en modifier « unilatéralement les dates ». Dans les « secteurs d'activités particulièrement nécessaires à la sécurité de la Nation et à la continuité ...
Nous sommes entrés dans une ère de pauvreté de masse : 10 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté, tandis que 12 millions de nos concitoyens logent dans des passoires thermiques où ils souffrent du froid – et ils risquent de souffrir de plus en plus cet hiver... En France, cinquième puissance mondiale, 300 000 personnes sont toujours sans domicile fixe. Cette situation n'est pas une fatalité : c'est le fruit de la politique méthodique du gouvernement d'Emmanuel Macron, qui a délibérément fait le choix de renforcer les inégalités, de fragiliser les plus pauvres et d'accroître la fortune des plus riches. Alors que les 10 % les plus riches ...