Les interventions de Sylvie Bonnet sur ce dossier
714 amendements trouvés
À la deuxième phrase de l’alinéa 11, substituer au mot : « prodigués » le mot : « garantis ». Exposé sommaire : Cet amendement vise à réaffirmer le droit de nos concitoyens à accéder à des soins palliatifs tel que prévus par les lois « bioéthiqu e » successives et notamment la loi Léonetti du 22 avril 2005 et la loi Claeys-Léonetti du 2 fé...
Compléter la première phrase de l’alinéa 11 par les mots : « mobilisant des professionnels de santé et, lorsqu’ils sont assurés à domicile, des acteurs de santé de proximité ». Exposé sommaire : L’article 1er du présent projet de loi définit les soins d’accompagnement, qui s’inscrivent dans une approche globale de la personne mala...
À la fin de l’alinéa 8, substituer aux mots : « à ses besoins psychologiques et sociaux », les mots : « aux besoins psychologiques, sociaux et spirituels de la personne malade ». Exposé sommaire : Cet amendement vise à réintégrer les besoins spirituels de l’homme comme le reconnaissent tous les organismes internationaux. Les besoins spirit...
À la deuxième phrase de l’alinéa 6, supprimer les mots : « sa dignité, ». Exposé sommaire : La dignité de la personne ne dépend pas de son état mais de sa nature d’homme et de femme. On n’a donc pas moins de dignité quand on est malade ou âgé. Dans les pays où l’euthanasie est légalisée, on assiste à une diminution de la part de malades can...
Supprimer les alinéas 3 à 19. Exposé sommaire : Les soins palliatifs prennent en compte, depuis le début les souffrance psychiques, sociales et spirituelles des malades. Les professionnels des soins palliatifs prennent en compte tous les jours les personnes malades dans l’intégralité de leurs besoins. Les soins d’accompagnement n’apportent r...
Supprimer cet article. Exposé sommaire : Les soins palliatifs sont reconnus dans le code de la santé publique depuis 1999. L’OMS reconnait à l’échelle internationale et définis les soins palliatifs comme « une approche pluridisciplinaire visant à améliorer la qualité de vie des patients et de leurs proches confrontés à une maladie grave. Ils...
Au début de l’intitulé du titre Ier, substituer au mot : « Renforcer » le mot : « Garantir ». Exposé sommaire : S’il s'agit de renforcer les soins palliatifs, il s'agit surtout de garantir à nos concitoyens l'accès aux soins palliatifs.
À la fin de l’intitulé du titre Ier, substituer aux mots : « d’accompagnement, les soins palliatifs et les droits des malades » le mot : « palliatifs ». Exposé sommaire : La mise en valeur et la promotion des soins palliatifs est un combat de longue haleine menée depuis de très nombreuses années. C’est une façon que l’on peut lu...
Compléter l’alinéa 3 par les mots : « et qu’elle est apte à manifester sa volonté de façon libre et éclairée ; » Exposé sommaire : Le jour de l'administration de la substance létale, le médecin est chargé de vérifier que la personne confirme qu’elle veut procéder à cette administration. Or, rien ne permet de s'assurer que la personne exprim...
À l’alinéa 3, substituer aux mots : « d'un an » les mots : « de trois mois ». Exposé sommaire : Lors des travaux en commission spéciale, le contrôle par le médecin de la volonté libre et éclairée de la personne qui demande l’aide à mourir a été assouplie et rend possible la mise en oeuvre de la procédure jusqu'à un an après le rendez-vous ...
Après la deuxième phrase de l’alinéa 8, insérer la phrase suivante : « Lorsque la personne volontaire n’est ni médecin ni infirmier, elle doit avoir été examinée préalablement par un psychologue clinicien ou un psychiatre qui a émis un avis favorable à la réalisation de l’acte d’administration de la substance létale. » Exposé sommaire : Cet ...
Avant la dernière phrase de l’alinéa 6, insérer les deux phrases suivantes : « Lorsque la personne volontaire qui procède à l’administration de la substance létale n’est ni médecin, ni infirmier, un psychologue clinicien ou un psychiatre procède à l’examen de l’intéressé. A l’issu de cet examen, le psychologue clinicien ou le psychiatre peut r...
Substituer aux alinéas 6 à 8 l’alinéa suivant : « II. – Après consultation du personnel et sur délibération du conseil d’administration, les établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés à l’article L. 312‑1 du code de l’action sociale et des familles peuvent choisir de ne pas concourir à la mise en œuvre des dispositions pré...
À l’alinéa 3, substituer aux mots : « de plus d’un an » les mots : « de trois mois » Exposé sommaire : Telle qu'adoptée en commission, la demande de procéder à l'administration de la substance létale serait valable douze mois au lieu des trois mois initialement prévus sans qu’un nouveau contrôle de la « volonté libre et éclairée » du requé...
Compléter l’alinéa 11 par la phrase suivante : « Il s’assure que la décision du patient ne souffre d’aucune pression extérieure. » Exposé sommaire : Il semble nécessaire que le psychologue clinicien ou un psychiatre s’assure que la décision du patient ne souffre d’aucune pression extérieure, comme cela existe dans la loi belge.
Compléter l’alinéa 11 par les mots : « en cas de doute sur l’état de discernement de la personne ». Exposé sommaire : Une telle disposition s'applique en Autriche.
Au début de la première phrase de l’alinéa 7, ajouter les mots : « Après consultation de la personne de confiance, de la famille et des proches ». Exposé sommaire : Cela paraît indispensable si le patient fait l'objet d'une mesure de protection juridique.
À l’alinéa 7, supprimer les mots : « demande à la personne si elle fait l’objet d’une mesure de protection juridique avec assistance ou représentation relative à la personne. Il » Exposé sommaire : C'est au médecin lui-même de vérifier si la personne fait ou non l'objet d'une mesure de protection juridique.
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « III. – Toute association déclarée depuis au moins cinq ans à la date des faits dont l’objet statutaire comporte la défense des droits des malades et leur accompagnement peut exercer les droits reconnus à la partie civile lorsque des faits ont été commis visant à dissuader les malades de bénéficier...
Supprimer cet article. Exposé sommaire : En commission spéciale, a été introduit un délit d'entrave. Cela risque de pénaliser toute remise en cause de ce dispositif et faire peser des menaces considérables sur la prise en soin des malades en fin de vie ou sur les politiques de prévention du suicide. Il convient donc de supprimer cet article.