Les demandes qui viennent d'être exprimées ne sont pas nouvelles et personne ici ne peut les ignorer. Pour une fois depuis le début de l'examen de ce collectif budgétaire que des amendements concernent nos compatriotes ultramarins, il serait normal de les prendre en considération pour que ce texte ait un sens pour eux.
La somme qui manquera au patrimoine du service public dans la mesure où elle sera réorientée vers l'audiovisuel public, dont l'indépendance est si précieuse qu'elle est garantie par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, s'élève à 3,5 milliards d'euros – c'est une partie de notre insécurité budgétaire. Nous savons que la fraction de la TVA par laquelle le Gouvernement va remplacer la contribution à l'audiovisuel public n'est ni pérenne, ni juste. Il existe pourtant un financement qui serait juste et qui emporterait l'adhésion de toutes les Françaises et de tous les Français : celui la taxation des GAFAM. Vous le savez, les GAFAM, ce sont ces ...
…et ce en pleine crise du pouvoir de vivre. Nous proposons donc l'instauration d'une taxe GAFAM digne de ce nom, en élargissant non seulement son assiette, mais aussi en accroissant son taux à hauteur de 15 %, afin de compenser le manque à gagner dû à la suppression de la contribution à l'audiovisuel. Osons rêver, les recettes issues de cette taxe pourraient aussi nous permettre d'augmenter le montant du budget de l'audiovisuel. Ce taux de 15 % est appliqué aux États-Unis : il n'y a aucune raison que la France manque à son devoir.
C'est justement parce que la France a déjà instauré une taxe sur les GAFAM que nous pouvons l'augmenter. C'est d'ailleurs ce qu'ont fait les États-Unis. Je constate donc que la France est incapable de faire ce qu'a fait l'Amérique de Donald Trump.
Il s'agit de rendre flottante la taxation du carburant. En guise d'explication, je rappellerai quelques éléments de contexte, à commencer par les propos suivants d'Emmanuel Macron : « Nous avons des gens qui ont spéculé sur la guerre, et aujourd'hui, il y a des gens qui font beaucoup d'argent sur la guerre. On appelle ça des profiteurs […]. » Le qualificatif de profiteur déplaît manifestement à M. Woerth, mais il a été employé par Emmanuel Macron lui-même. Une grande partie de nos voisins taxent lesdits profiteurs et baissent les prix du carburant. Le Fonds monétaire international (FMI) a même déclaré qu'il était nécessaire de mobiliser des recettes ...
N'en déplaise aux phallocrates qui vous interrompent !
La violence, ce sont les animaux qui la subissent !
L214 ne fait pas cela !
Oui, laissez parler les femmes !
Pour aller bosser !
Ça ne vous gêne pas quand il s'agit de l'école !
Pour l'école, vous avez fait comment ?
On a réussi à vous convaincre !
Vous allez contre l'avis du rapporteur, alors !
Et les affiches qu'on a vues à Béziers ?
Détendez-vous, chers collègues, le 49.3 arrive !
Elle a raison !
Venez donc dans le métro avec moi !
Mais c'est ce que vous faites sur les recettes : des incantations !
Vas-y, moussaillon Bothorel !
C'est bien, ça, comme formule !
Très, très nombreux !
Il ne suffit pas, en effet, de citer Jean Zay, encore faut-il le comprendre !
Excellente question !
Sauf que vous n'avez pas été élue…
Exactement !
C'est vrai !
Cela s'appelle l'exigence écologique !
Vous n'êtes pas à une contradiction près !
Quelle démagogie !
Mais vous en voudriez bien pour surveiller les déplacements des immigrés !
Eh bien, donc, nous ne sommes pas contre ! Nous ne demandons pas leur suppression !
Climato-sceptique, c'est pareil !
Ce n'est pas nous, ce sont les tribunaux !
Des mesures démographiques !
Où est le ministre de l'éducation ?
Nous n'avons pas les mêmes sondages !
C'est Le Pen qui était dans la rue en 1984 !
Absolument ! C'est un outil hégémonique !