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Rappel au règlement sur le fondement de l'article 50, alinéa 5. Les présidents de groupes devaient se réunir de nouveau vers vingt-trois heures. Je demande donc une suspension de séance afin d'organiser la suite des débats, car la situation me paraît assez désespérée.
Le rapporteur général a procédé de façon scandaleuse en retirant un amendement dans le dos de la représentation nationale, profitant pour cela d'une longue suspension de séance.
Sur le fondement de l'article 54, qui concerne la bonne tenue des débats, je tiens à souligner qu'alors que nos débats étaient intéressants, que nous vivions un beau moment de démocratie, puisque la minorité présidentielle ne décidait enfin plus de tout, toute seule, celle-ci a fait un véritable déni de démocratie. Je m'étonne également de voir que la durée des suspensions de séance varie au fil des demandes, passant d'une minute à tout juste trente secondes. Comment est-ce possible ?
Il est également fondé sur l'article 54. Madame la présidente, il vous revient de fixer la durée de la suspension, nous ne contestons pas ce droit.
Vous avez eu plus de quinze minutes de suspension pour vous organiser et supprimer un amendement : vous en avez naturellement le droit, mais comprenez que lorsque nous découvrons que vous avez retiré un amendement sur lequel nous avions déposé de nombreux sous-amendements, et que nous n'avons qu'une minute, voire seulement trente secondes, pour nous organiser, la tenue des débats n'est pas bonne.
Chers collègues, je vous remercie pour votre confiance. Je voudrais saluer M. Roland Lescure, qui a présidé la commission durant la précédente législature. (Applaudissements.) Nous avons accompli avec lui un très beau travail ; soyez assurés que je ferai mon possible pour être à la hauteur. Je suis saisi par le groupe La France insoumise – NUPES d'une demande de suspension.