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Interventions sur "scolaire"

805 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrancesca Pasquini :

... alloués à la formation continue relative à la scolarisation des élèves en situation de handicap, sans plus de détails. Afin de garantir que les élèves en situation de handicap seront accueillis dans les meilleures conditions, et conformément au droit de l'éducation, nous proposons donc de renforcer la formation continue des enseignants du public du premier degré aux problématiques de l'inclusion scolaire.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaInaki Echaniz :

Cet amendement, adopté en commission des affaires culturelles et de l'éducation lors de l'examen pour avis de la mission Enseignement scolaire, vise à compléter la prime mobilité allouée aux enseignants stagiaires de l'enseignement public du premier et du second degré, en vue de couvrir la totalité de leurs frais de déplacement. Les métiers de l'enseignement souffrent aujourd'hui d'une profonde crise d'attractivité, preuve en est la difficulté croissante à recruter sur concours. Pour y remédier, un effort doit être porté sur l'intég...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaIdir Boumertit :

...us devons y assurer une mixité sociale qui n'existe pas à ce jour. La publication des IPS – indices de position sociale – des élèves révèle une dynamique ségrégative qui ne cesse de s'accroître, avec l'émergence au sein de nos écoles de ghettos de riches et de ghettos de pauvres. Nous proposons que soient créés des observatoires départementaux de la mixité sociale dans et entre les établissements scolaires.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRobin Reda, rapporteur spécial :

L'éducation à l'alimentation se fait aussi par l'investissement des restaurants scolaires, donc des collectivités territoriales, qui sont nombreuses à mettre en place des initiatives pour sensibiliser les enfants. Par ailleurs, des innovations pédagogiques peuvent toujours être financées par le fonds d'innovation pédagogique. Votre amendement me paraît donc satisfait. Avis défavorable.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLéo Walter :

Il s'agit d'un amendement d'appel. En octobre 2022, j'avais interrogé le directeur général de l'enseignement scolaire, Édouard Geffray, pour savoir si les évaluations d'écoles, encore expérimentales, avaient elles-mêmes été évaluées avant d'être généralisées : je n'avais pas obtenu de réponse. J'avais posé la même question au ministre de l'Éducation nationale, Pap Ndiaye, sans résultat. Pour notre part, nous remettons très clairement en cause ce dispositif, qui nous semble problématique pour la cohésion des équi...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRobin Reda, rapporteur spécial :

...es pour aider à piloter la politique éducative, pour définir des axes d'amélioration, pour construire les projets d'écoles ou d'établissements. Plus de 5 000 évaluations d'établissements ont été réalisées ; tout l'enjeu est désormais de s'appuyer sur elles pour obtenir de véritables améliorations sur le terrain. C'est la marche d'après que nous devons franchir dans l'évaluation des établissements scolaires. Avis défavorable.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaInaki Echaniz :

L'amendement II-CF421 vise à recruter 10 428 enseignants afin qu'aucune classe de collège ne dépasse 24 élèves. La crise sanitaire a montré que les petits effectifs en classe favorisent les apprentissages et apaisent le climat scolaire. Contrairement à ce que propose le gouvernement, qui supprime encore 2 500 postes cette année, la baisse de la démographie scolaire doit être considérée comme une opportunité pour réduire la taille des effectifs en classe.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLéo Walter :

Cet amendement d'appel vise à dénoncer la différence d'augmentation des budgets en 2024 entre l'enseignement privé – plus 6,51 % – et l'enseignement public – plus 4,57 % – de la maternelle au lycée. Quant au lycée professionnel sous statut scolaire, il connaît une hausse de 15,34 % dans l'enseignement privé contre 11,29 % dans le public. De plus, depuis l'entrée en vigueur de la loi pour une école de la confiance, dite loi Blanquer, une nouvelle ligne a été créée pour la scolarisation des moins de 3 ans, compensée par l'État aux communes subissant des frais supplémentaires du fait de cette mesure. Cela représente tout de même 46 millions d'...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRobin Reda, rapporteur spécial :

Le maître-mot du Gouvernement pour notre école est d'élever le niveau. Cela se fait en augmentant considérablement les crédits, notamment pour revaloriser la fonction d'enseignant. Cette hausse sans précédent du budget de l'Éducation nationale est au service de la qualité de notre école et de l'élévation du niveau scolaire. Depuis cinq ans, alors que l'on compte 300 000 élèves en moins, le budget a augmenté de 30 %. C'est donc une amélioration qualitative considérable pour notre école qui est inscrite dans le budget pour 2024 et dans les crédits de la mission Enseignement scolaire, que je vous invite à voter.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexandra Martin :

Le budget pour 2024 présente une hausse historique pour la mission Enseignement scolaire. Il traduit l'engagement du Gouvernement pour la revalorisation de tous les enseignants. Renforcer l'attractivité du métier d'enseignant est vital à l'heure où nous connaissons dans tout le territoire des difficultés de recrutement. Aucun enseignant ne touchera moins de 2 100 euros net en début de carrière. Ce montant atteindra 2 466 euros net pour les professeurs titulaires débutants en rése...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Lottiaux :

...ent tout cela s'est terminé ; insuffisante valorisation de filières professionnelles ; problèmes majeurs en matière d'orientation. En fait, le problème de l'école n'est pas celui de ses moyens, mais de leur utilisation. C'est la raison pour laquelle nous n'avons pas voté des amendements prônant le « toujours plus », hormis dans quelques secteurs qui sont véritablement en panne, comme la médecine scolaire, les AESH et certains types d'enseignement. L'école est avant tout un projet ; or ce projet est absent. Nous voterons donc contre ces crédits.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRobin Reda, rapporteur spécial :

...relles. Néanmoins, je donnerai un avis défavorable. Un protocole a été établi entre le ministère et l'enseignement privé, catholique à 96 %, pour accroître la mixité. Celle-ci rencontre des difficultés liées à la cartographie des établissements, puisqu'il n'y a pas de réseau d'éducation prioritaire dans l'enseignement privé. Ce débat dépasse les questions budgétaires de la mission Enseignement scolaire. Il doit en effet intégrer les problématiques du temps périscolaire et de la cantine, qui relèvent davantage de l'aide des collectivités territoriales, mais aussi le sujet du bâti scolaire, qui relève quant à lui de l'investissement des établissements privés puisque l'État, vous le savez, ne peut les subventionner.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉmilie Bonnivard :

La mission Enseignement scolaire connaît une augmentation de ses crédits avec une hausse de 5,38 %, soit 3,9 milliards d'euros, ce qui en fait toujours le premier budget de l'État. Toutefois, la hausse budgétaire, consacrée notamment à la revalorisation salariale des professeurs à hauteur de 1,3 milliard, ne permettra pas de remettre l'école à flot. Par ailleurs, ce projet de budget traduit votre non-compréhension globale d...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPascal Lecamp :

Avec 86,9 milliards d'euros, la mission Enseignement scolaire constitue le premier budget de l'État. Celui-ci accompagne 12 millions d'élèves, de la maternelle au lycée, et près de 1 million d'enseignants. Nous saluons un budget en hausse de 5,3 %. Cette augmentation traduit l'engagement de revalorisation sans condition des enseignants ainsi que le développement du Pacte enseignant. Nous saluons également une hausse, dans le programme 140, des moyens c...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉric Coquerel, président :

La réponse est peut-être que les établissements privés, n'étant pas astreints à la carte scolaire, peuvent sélectionner leurs élèves.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaInaki Echaniz :

En matière d'enseignement scolaire, ce projet de loi de finances pour 2024 nous inquiète à plusieurs titres. Tout d'abord, l'État ne peut pas faire des économies sur le dos des professeurs. En actant la suppression de 2 700 postes d'enseignant, le Gouvernement cautionne les classes surchargées, qui nuisent à la fois à l'apprentissage des élèves et aux conditions de travail des enseignants. Autre sujet d'inquiétude, le projet de b...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristophe Plassard :

L'éducation, prioritaire pour le groupe Horizons et apparentés, est financée par les crédits de la mission Enseignement scolaire. Elle doit permettre que l'un des fondements de notre République soit accessible et offre les mêmes chances à tous. Les crédits de cette mission sont en hausse de 86 millions et tous ses programmes bénéficient de cette augmentation. Pour rappel, ce budget aura ainsi augmenté de 29 % depuis 2017. Le PLF pour 2024 traduit la poursuite des engagements et des réformes entamés pendant le précéden...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrancesca Pasquini :

Malheureusement les crédits pour 2024 de la mission Enseignement scolaire ne sont pas au rendez-vous des besoins de l'école. La suppression de postes d'enseignant se poursuit, contre toute logique et contre l'intérêt des élèves. Ce budget n'est pas non plus celui de l'augmentation inconditionnelle de 10 % de tous les enseignants et les Écologistes regrettent que le milliard d'euros mobilisé pour le Pacte enseignant n'ait pas été utilisé pour revaloriser l'ensemble ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Sansu :

Le budget de l'enseignement scolaire, qui est le premier de l'État, aurait dû être l'occasion de faire des choix forts pour l'avenir de notre pays. Pour commencer il aurait fallu ne pas supprimer de postes, même si la démographie scolaire est en baisse. La France est le pays de l'Union européenne où le nombre d'enfants par classe est le plus élevé. Il faut donc revenir sur la suppression de 2 700 postes, qui porte à 10 000 le nombre...