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Interventions sur "responsabilité"

142 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexandre Loubet :

Le Gouvernement n'a pas le courage de défendre les fleurons nationaux, refusant de recourir au décret Villepin pour protéger nos industries stratégiques, rachetées puis pillées par des puissances étrangères. Le Gouvernement n'a pas le courage d'assumer sa responsabilité dans l'explosion des prix de l'énergie, refusant de reconnaître qu'il a abandonné la filière nucléaire et surtout, quelle indécence, imputant les conséquences de son incompétence à la terrible guerre en Ukraine. Le Gouvernement n'a pas le courage de défendre le modèle social des Français, voulant imposer la retraite à 65 ans, laissant prospérer les déserts médicaux ou encore refusant, malgré la p...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Turquois :

Nous voici réunis pour débattre d'une nouvelle motion de censure après l'engagement de la responsabilité du Gouvernement sur la troisième partie du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023. Je n'irai pas par quatre chemins : jeudi, en milieu d'après-midi, j'étais furieux ! Peut-être certains ont-ils entendu ma colère dans les salons à proximité de l'hémicycle. L'article 1er du PLFSS, c'est-à-dire le compte administratif qui retrace les opérations budgétaires de l'année passée, v...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Turquois :

Madame la Première ministre, le groupe Démocrate tient à vous adresser ses remerciements. Vous avez pris vos responsabilités en engageant celle du Gouvernement. Notre pays et nos concitoyens ne peuvent être pris en otage des manœuvres politiciennes de quelques-uns.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEmmanuelle Ménard :

Jeudi dernier, au premier jour de l'examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023, vous avez, madame le Premier ministre, engagé à nouveau la responsabilité de votre Gouvernement. Vous avez d'ailleurs utilisé quasiment les mêmes termes que la veille, quand vous aviez déclenché le fameux 49.3 pour justifier de faire adopter le projet de loi de finances sans vote. Vous avez notamment salué les « débats constructifs » qui se sont tenus en commission, ayant permis « d'enrichir le texte, avec l'adoption d'amendements de la majorité comme des oppositions ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThibault Bazin :

Pourrons-nous considérer le fait qu'il est proposé à la commission des affaires sociales d'accepter des amendements comme un heureux présage en vue de leur intégration au texte transmis au Sénat si le Gouvernement venait à engager sa responsabilité sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale ?

Élisabeth Borne, Première ministre :

...st notre mission collective, au Gouvernement comme sur ces bancs. Avec vous, avec tout le Gouvernement, avec nos concitoyens, nous réussirons ; j'y suis déterminée. Ces dernières semaines, à quatre reprises, les Françaises et les Français se sont exprimés. Par le résultat des urnes, ils nous demandent d'agir, et d'agir autrement. Par leur message, ils nous demandent de prendre collectivement nos responsabilités. Nous le ferons. Ensemble, nous répondrons à l'écho de l'abstention. Elle est le signe d'une démocratie malade, d'un désarroi de la jeunesse, d'une perte de confiance dans notre capacité à changer les vies. Ensemble, nous répondrons à la demande d'action. C'est elle qu'exprime le plus fortement le vote des Français. Nous ne pouvons pas décevoir. Ensemble, nous répondrons à l'exigence de respo...

Élisabeth Borne, Première ministre :

Ils n'accepteront ni immobilisme, ni obstruction, ni invective. Ils veulent un Gouvernement et un Parlement d'action. Nous avons une responsabilité historique vis-à-vis de nos concitoyens : responsabilité dans la manière d'agir, dans les réponses à offrir, dans les résultats à apporter. À partir du cadre choisi par les Français, je vous propose de bâtir ensemble. Notre premier défi, et je sais que cela fait consensus parmi nous, c'est de répondre de façon urgente à la question du pouvoir d'achat. Sous l'impulsion du Président de la Républiq...

Élisabeth Borne, Première ministre :

en ouvrant la caution publique aux classes moyennes ; en construisant davantage de logements dans les zones en tension ; en concluant un pacte de confiance avec les acteurs du logement social ; en proposant aux collectivités un nouvel acte de décentralisation pour concentrer les moyens et les responsabilités à l'échelle des bassins de vie tout en veillant à ce qu'elles permettent réellement aux projets de sortir de terre.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Mais je veux l'affirmer, les deux clés du pouvoir d'achat durable sont le plein emploi et la transition écologique – j'y reviendrai. Sur tous ces sujets, je suis convaincue que nous pouvons trouver des solutions communes. Nous devrons cependant garder en tête trois principes, tout d'abord celui de la responsabilité environnementale : nous devons prendre en compte l'impact environnemental de toutes nos mesures

Élisabeth Borne, Première ministre :

et remplacer, dès que possible, nos dépenses en faveur des énergies fossiles par des solutions décarbonées. Le principe de la responsabilité budgétaire, ensuite. Les mesures massives que nous avons prises ont protégé les Français – il fallait les prendre –, mais nous devons retrouver aujourd'hui des perspectives claires pour l'amélioration de nos comptes publics. C'est une nécessité pour continuer à financer notre modèle social.

Élisabeth Borne, Première ministre :

J'ajoute que le pouvoir d'achat est un combat collectif. Chacun doit y prendre sa part, notamment les entreprises qui dégagent des marges. Au moment où l'inflation est forte, j'attends des employeurs qui le peuvent qu'ils prennent leurs responsabilités. Nous pouvons, nous devons, aller plus loin en la matière. Notre deuxième défi est de bâtir ensemble la société du plein emploi. C'est une conviction qui m'anime profondément, une conviction nourrie par mon parcours, par deux ans passés comme ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion, par nos échanges et par ceux que j'ai avec nos concitoyens. Nous devons changer notre rapport au trava...

Élisabeth Borne, Première ministre :

et une ambition plus forte en matière de responsabilité sociale et environnementale des entreprises. Nous avons tous à y gagner.

Élisabeth Borne, Première ministre :

la France, notre France, c'est celle de cette jeunesse qui nous met devant nos responsabilités, s'engage pour le climat, prête à se battre pour notre destin commun ;

Élisabeth Borne, Première ministre :

... Gouvernement et des différentes voies que nous pourrions emprunter. Je m'engage à ne jamais rompre le fil du dialogue avec les groupes parlementaires, avec les forces vives, avec les Françaises et les Français. Je m'engage à bâtir des compromis ambitieux sans compromission sur les valeurs, à bâtir des solutions concrètes, des majorités de projets et d'idées. Les Français ont sonné l'heure de la responsabilité. Soyons au rendez-vous. Nous avons toutes et tous à y prendre notre part. Nous avons tout pour réussir. Bâtir ensemble, nous y parviendrons !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

Soyez assurés que nous saurons user de nos nouvelles responsabilités avec bienveillance, mais surtout avec pugnacité. Ce qui nous intéresse, ce n'est pas d'être les premières, mais de nous inscrire dans le temps long. Madame la Première ministre, vous venez de nous exposer la feuille de route que vous fixez au Gouvernement. Il me revient, en tant que présidente du principal groupe de l'Assemblée, de préciser nos intentions et l'état d'esprit qui nous anime alors...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

…à abdiquer notre objectif de plein-emploi, à appauvrir les Français et, in fine, à obérer la capacité de l'État à faire face à ses responsabilités. Pas d'augmentation de la dette, pas d'augmentation des impôts : voilà le seul cadre responsable dans lequel nous pouvons mener notre action.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

Il nous appartient désormais, par notre sens des responsabilités, par la pratique de notre mandat, de lui donner raison. Car cela correspond à nos convictions et, surtout, au verdict des urnes. Les membres du groupe Renaissance sont prêts à démontrer que nous sommes collectivement capables de trouver dans notre texte fondamental les ressources pour que la France continue d'avancer. Nous sommes clairs concernant le cadre général, qui sera cohérent avec le pro...