Et l'intergroupe de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale (NUPES).
Et les spéculateurs de guerre ?
Supprimer Parcoursup !
Le cheval de Troie, on connaît !
Pas un mot sur l'hôpital !
La mauvaise foi incarnée !
Renoncez au traité de libre-échange !
C'est énorme !
Ça vous fait rire ?
Oh, la boîte à outils !
Quelle est la question ? Allô ?
Il n'y a pas de question, donc il n'y aura pas de réponse !
Ah, il nous manquait !
Ça ne mange pas de pain, monsieur Gosselin ! On ne sait même pas si c'est un avis conforme ou un avis consultatif !
Bah oui !
Quand ?
Ça va, il y a assez de cirage ?
C'est Thatcher, votre modèle !
Il était temps !
Ça, on avait compris !
Il ne faut pas que ça ressemble trop à un salaire !
Pour vous, la loi qui protège, cela n'existe pas : la loi du plus fort est celle que vous privilégiez. Vous instaurez donc tout un tas de mécanismes visant à diviser les salariés. Certes, quand les frigos sont vides, quand les salaires sont insuffisants, tout ce qui est bon à prendre est pris par les salariés, même les primes à la noix de coco, même les primes aléatoires.
Oui…
C'est la raison pour laquelle nous sommes opposés.
Nous voterons donc en faveur de cet amendement car nous considérons que la prime Macron, qui ne touche qu'un petit nombre et non pas ceux dont les salaires sont les plus modestes, ne répond pas au problème de pouvoir d'achat qui touche la plupart des Français. Voilà ce qui oppose l'extrême droite et l'extrême argent représentés de l'autre côté de l'hémicycle
à la gauche, qui considère que la seule réponse au besoin de pouvoir d'achat, c'est la hausse des salaires.
Votre silence est assourdissant…
C'est désincitatif !
En effet, vous mentez effrontément !
Ce n'est pas la question !
On marche sur la tête avec des questions comme ça !
On marche sur la tête, Bazin !
Dites plutôt que vous l'avez trouvé !
J'avais cru comprendre que ce texte était un ensemble de mesures d'urgence destinées à amortir le choc de l'uppercut que représente l'inflation dans la vie des gens. En fait, on observe un glissement presque naturel vers la dérégulation – il est vrai que les libéraux glissent facilement là-dessus et rejoignent l'extrême droite, l'extrême argent et la droite libérale décomplexée .
Il a raison !
Sur le fondement de quel article ?
Sur le fondement de quel article, le rappel au règlement ?
Cela n'a donc rien à voir avec le pouvoir d'achat !
Drôle de discussion commune !
Je souhaite m'exprimer, monsieur le président, j'ai été interpellé !
Nous en avons fait l'expérience, l'abus d'ordonnances nuit gravement à la santé de nos concitoyens. Nous sommes partisans d'un retour en force du Parlement. Les parlementaires sont capables de faire preuve de discernement et de précision pour légiférer. C'est la raison pour laquelle nous soutenons les amendements déposés par nos collègues de droite. Si le Gouvernement est en mesure de préciser le champ de l'habilitation, il pourra déposer en séance un amendement pour rétablir cette dernière. En attendant, devant le flou artistique de la rédaction actuelle, nous refusons de nous dessaisir de nos prérogatives.
Ce qui fait débat, ce n'est pas votre capacité à mettre à contribution les entreprises publiques, c'est votre incapacité à mettre à contribution les groupes privés – Total et d'autres – qui se sont gavés pendant la crise et qui contribuent à réduire le pouvoir d'achat de nos concitoyens. Vous êtes capables de saigner la bête lorsqu'il s'agit d'entreprises publiques et de l'épargner lorsqu'il s'agit de capitaux privés – mais vous êtes Marcheuse, et nous non !
Vous renforcez les pouvoirs du ministre en limitant ceux de la CRE. L'amendement CE146 vise à rétablir cette dernière dans ses prérogatives.
Si ! Tous ceux qui ont voté la loi NOME !
Sur la forme, on prend les mêmes méthodes et on recommence : vous faites l'impasse sur le Parlement, avec des délais contraints qui en disent long sur le respect que vous avez pour nous. Sur la forme, toujours, je salue les ministres présents, mais regrette l'absence du vice‑Premier ministre qui passe son temps dans les médias et aurait été bien inspiré de venir écouter les propositions formulées par l'opposition pour améliorer le pouvoir d'achat de nos concitoyens. Votre projet de loi, pipeauté, ne fait pas la maille, comme on dit chez moi. Vous faites l'impasse sur l'inflation, refusant de bloquer les prix, refusant de vous doter des outils qui ...
Peut-être le Conseil constitutionnel sera-t-il amené à apprécier si ces articles exorbitants du droit commun sur l'énergie sont ou non des cavaliers. Vous adoptez des mesures d'exception sur un certain nombre de sujets – tels que l'approvisionnement ou le terminal méthanier. Or, l'énergie n'est pas une marchandise mais un bien de première nécessité, un bien commun. Je pense que vous avez le trac face à la perspective de la dérégulation complète et de son incidence sur le coût d'accès à l'énergie. Pour l'instant, vous êtes dans un flou artistique complet. Ces mesures d'exception ne doivent pas nous exonérer de remettre à plat la PPE, le choix du ...
Jean-Paul Lecoq a appelé votre attention sur certains risques. Votre volonté d'agir dans l'urgence, qui fait débat mais que vous assumez, ne vous autorise pas à considérer les zones portuaires comme des zones de non-droit, ni à vous asseoir sur toutes les études de sécurité et d'impact environnemental qui doivent être réalisées au préalable pour ce type de projet. J'appelle à mon tour votre attention : le degré d'acceptabilité pour les Havrais dépend aussi de votre capacité à répondre clairement, sereinement et concrètement aux questions que nous posons. Un terminal méthanier, même flottant, ce n'est pas n'importe quoi ! Dans une telle zone portuaire ...
Je vous renvoie à l'intervention précédente de mon ami Jean‑Paul Lecoq, député du Havre, qui connaît bien le sujet. Le texte prévoit de dispenser le projet de presque toutes les procédures habituellement applicables : absence d'instruction du projet d'évaluation environnementale, autorisation de démarrer les travaux sans attendre la validation finale des mesures de compensation, etc. Les élus, les associations environnementales et les organisations syndicales des salariés concernés formulent des exigences simples : que l'on réalise, pour ce projet de terminal flottant, par nature mobile, des études de danger au niveau le plus élevé, selon les mêmes ...