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Interventions sur "soutien"

184 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSophia Chikirou, rapporteure pour avis :

...uence de la crise sanitaire et de l'inflation, de nombreuses structures de l'ESS ont des difficultés de trésorerie et de remboursement de leurs dettes. Les défaillances d'entreprises ont atteint un niveau record ce mois-ci. Évitons que cela ne se produise dans l'ESS. L'étalement du remboursement des prêts garantis par l'État (PGE) sur dix ans constituerait un levier de financement indirect et de soutien sur la durée.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSophia Chikirou, rapporteure pour avis :

Nous souhaitons un rapport sur les crédits mobilisés par l'État et les collectivités territoriales pour le développement et le soutien à l'économie sociale et solidaire. En l'absence d'un document budgétaire et d'un centre de formalité des entreprises (CFE) spécifique à l'ESS, il est difficile, voire impossible, de prendre la mesure des politiques publiques ayant un impact sur l'ESS.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGabriel Amard :

...erait nécessaire. Inscrirez-vous finalement ce montant dans le budget ? Comme moi, lors de votre visite dans la métropole de Lyon, vous avez pu entendre les difficultés des travailleurs des transports urbains et périurbains. Il manque plus de 500 conducteurs dans la métropole de Lyon. Leurs conditions de travail se dégradent et les usagers en subissent les conséquences. Engagerez-vous un plan de soutien massif au développement des transports collectifs ? Comptez-vous mettre en place un statut des conducteurs pour rendre ce métier plus attractif ? Enfin, le projet de plus de 300 kilomètres de tunnel entre Lyon et Turin est en contradiction avec la directive-cadre sur l'eau, l'article 5 de la charte de l'environnement et les lois sur l'eau. Pourriez-vous prendre l'engagement de ne pas financer ce...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Vermorel-Marques :

...oire, le projet de ligne à grande vitesse (LGV) entre Paris et Lyon a été suspendu par la majorité du précédent quinquennat. Des compensations pour les petites lignes devaient être prévues. Pourtant, la ligne Paris-Clermont passant par Roanne est toujours dans un état catastrophique, sans parler des retards réguliers. Des initiatives se lancent comme le projet Railcoop entre Bordeaux et Lyon. Les soutiendrez-vous ? Qu'entendez-vous faire pour offrir à nos concitoyens des alternatives réelles et concrètes à la voiture ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Thierry :

...t caduc. Nous avons deux options : soit vous souhaitez que l'Europe finance et il faut que les lignes nouvelles dépassent Dax et traversent le Pays basque pour atteindre l'Espagne – mais les communautés basques y sont farouchement opposées ; soit vous considérez enfin l'option de rénovation des lignes existantes, moins chère et réalisable sans financement européen. C'est celle que les Écologistes soutiennent, d'autant qu'elle permettrait de préserver des milliers d'hectares d'espace naturel, avec des temps de trajet pratiquement équivalents et 8 milliards d'euros économisés. Quelle option retiendra votre ministère ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

...r à ses côtés en lui livrant des armes. La France l'a fait et doit continuer de le faire plus encore. Nous appelons tous les députés républicains à rester unis pour convaincre nos compatriotes de la nécessité des efforts déjà consentis et de ceux qui sont à venir. Le débat était nécessaire ; il convient de le prolonger et d'offrir à notre assemblée la possibilité de s'unir dans une résolution de soutien à l'Ukraine la plus nette et la plus large possible. Tel est l'objet de la proposition de résolution que les députés socialistes déposent aujourd'hui. À chaque fois qu'il s'agira de la liberté et du droit, le Gouvernement nous trouvera à ses côtés. Oui, les démocraties doivent gagner cette guerre par le rétablissement du droit et de la souveraineté ukrainienne. Ce n'est qu'à cette condition qu'i...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Lecoq :

...nistan, l'Irak, le Sahel, mais aussi le Fonds monétaire international et la Banque mondiale : les peuples n'oublient pas les attaques, les reniements, et les trahisons. La géométrie variable des engagements des pays riches est le poison qui a détruit la confiance des peuples dans les Nations unies et dans le droit international. C'est la raison pour laquelle on ne peut s'étonner de la tiédeur du soutien international, notamment des pays les plus fragiles, aux résolutions proposées par les États-Unis et leurs alliés sur l'Ukraine. Les pays du Sud n'acceptent plus de s'aligner systématiquement sur ceux qui les observent du haut des remparts de la Bastille. Le président français ne semble pas l'avoir compris, lui qui a préféré accuser à la tribune des Nations unies, le 20 septembre, des partenaire...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBertrand Pancher :

Alors que nous débattons de la guerre en Ukraine, je voulais tout d'abord adresser au nom de mon groupe mais aussi, je le sais, plus largement, notre soutien aux femmes iraniennes et aux hommes engagés à leurs côtés pour lutter contre une effroyable dictature islamiste en Iran.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBertrand Pancher :

J'espère que le soutien accordé à Poutine par une partie de notre classe politique est maintenant clairement derrière nous.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBertrand Pancher :

...intervention des États-Unis. Vladimir Poutine est dans une offensive de propagande au long cours pour déstabiliser nos sociétés. En s'aidant de notre dépendance énergétique et de ses effets sur l'inflation, il joue sur la division des opinions publiques. Ne cédons pas à la pression russe et ses relais en France, continuons à livrer davantage d'équipements militaires à l'Ukraine, affirmons que le soutien à l'Ukraine et le soutien aux foyers et entreprises françaises sont compatibles et ne doivent pas être opposés ! Restons fermes sur nos fondements de solidarité et de liberté ! Quelle leçon d'héroïsme et de bravoure nous donnent nos amis ukrainiens ! À leur place, qu'aurions-nous fait ? Vive l'Ukraine libre pour toujours, vive l'Europe de plus en plus forte, et vive la France !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

...l'annexion de la Crimée, l'Union européenne a su répondre de façon forte et unanime face à l'agression préméditée de la Russie. Sous la présidence française de l'Union européenne, nous avons adopté un paquet de sanctions économiques, politiques et financières d'une ampleur inédite. Notre présidence a su défendre l'idée de l'autonomie stratégique européenne. Nous avons exprimé sans ambiguïté notre soutien à l'Ukraine et à son effort de guerre, notamment grâce à des mesures économiques et des livraisons militaires importantes. Comme vous l'avez souligné, madame la Première ministre, nous avons également accueilli les réfugiés de guerre ukrainiens, par solidarité, en cohérence avec nos valeurs et dans le respect de la Convention de Genève. Affirmons-le : la solidarité avec le peuple ukrainien, c'es...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

C'est là tout le sens du soutien que, depuis le premier jour de la guerre, la France apporte à l'Ukraine et à son peuple – un soutien au sujet duquel notre groupe n'a jamais connu ni ne connaîtra la moindre ambiguïté.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMohamed Laqhila :

...e considère plus que nécessaire pour la sécurité des nations. Chers collègues, le 24 février dernier, Vladimir Poutine a décidé de s'engager dans une guerre illégale. Emporté par sa volonté arbitraire de redessiner les frontières, il a outrepassé toutes les règles du droit international. De manière collective et immédiate, les pays membres de l'Otan et ceux de l'Union européenne ont apporté leur soutien militaire au peuple ukrainien. Dès lors, par l'intermédiaire de l'Alliance atlantique, la France a pris part à ce soutien et au renforcement défensif de pays comme la Pologne, la Roumanie et les pays baltes, qui redoutent les volontés expansionnistes de la Russie. La Suède et la Finlande, jusqu'à présent neutres en matière d'alliance militaire, ont rejoint l'Otan, afin notamment de bénéficier de ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaValérie Rabault :

Derrière l'Ukraine, avec le piétinement du mémorandum de Budapest de 1994, c'est l'ordre mondial qui est attaqué. Alors, mes chers collègues, comment ne pas voir que cette guerre est aussi la nôtre ? Il me semble que la seule question qui se pose pour nous aujourd'hui est celle-ci : la France en fait-elle assez pour soutenir l'Ukraine ? Oui, la France est un soutien reconnu de nos amis ukrainiens, que celui-ci passe par la livraison d'armes, notamment de canons Caesar, par l'accueil de réfugiés, par un soutien financier, par notre influence décisive dans les sanctions décidées par l'Union européenne contre la Russie ou lors du vote du 1er juillet dernier, qui a permis d'accorder à l'Ukraine le statut de pays candidat à l'Union européenne, ou encore par les m...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaValérie Rabault :

Sinon, elle ne sera jamais un acteur géopolitique crédible. La France doit augmenter son soutien financier. Le cumul de son aide directe et de ce qu'elle donne par l'intermédiaire de l'Union européenne représente 0,14 % du PIB, ce qui est inférieur à l'aide consentie par de nombreux autres pays de l'Union européenne. La France doit adopter une démarche résolument offensive et proactive au sein des Nations unies – comme elle a su le faire dans d'autres conflits – pour isoler plus encore la R...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaValérie Rabault :

Au sein même de l'Union européenne, elle doit être le pays qui prône des sanctions renforcées contre la Russie. J'ai bien conscience que renforcer notre soutien à l'Ukraine constitue un effort – un effort pour toute notre nation. En réalité, cet effort, nous le faisons pour nous-mêmes, pour ce que l'histoire dira de nous face à cette guerre.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHubert Julien-Laferrière :

...s qui accomplissent sur place un remarquable travail de mobilisation humanitaire, médicale et sociale. Notre assemblée doit elle aussi être au rendez-vous et je salue à mon tour, madame la présidente, l'initiative de coopération que vous avez lancée conjointement avec le parlement ukrainien à l'occasion de votre déplacement en Ukraine avec plusieurs de nos collègues. La France est active dans le soutien militaire à l'Ukraine, mais nous devons déjà penser à préparer la paix et donc la reconstruction de ce pays meurtri, à laquelle notre pays, avec l'Union européenne, devra participer. Vous l'avez dit, madame la Première ministre : ce sujet n'est en rien prématuré. Le processus de reconstruction devra être inclusif et intégrer la société civile, les mouvements sociaux et les syndicats ukrainiens, a...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Panifous :

... russes le coût politique et économique de l'agression qu'ils ont décidée. L'Union européenne et ses États membres ont également joué un rôle moteur dans la mobilisation de la communauté internationale pour dénoncer les multiples violations du droit international par la Russie. Pourtant, les derniers développements de la situation montrent que nous devons aller plus loin. L'Ukraine a besoin d'un soutien massif et nous devons être à la hauteur de cette solidarité, qui passe d'abord par une hausse de l'aide financière de l'ensemble de la communauté internationale. La France, en tant que principale puissance militaire de l'Union européenne, a également un rôle particulier à jouer en matière de livraison d'armes. Là encore, il n'est pas possible de céder à la pression et aux intimidations de la Rus...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexis Jolly :

...e doit nous servir de piqûre de rappel. Alors, qu'est-ce que la guerre en Ukraine ? C'est d'abord et avant tout un conflit ayant trait au statut des populations russophones d'Ukraine. Par cette agression violente et sans précédent sur le territoire ukrainien, Moscou revendique la souveraineté sur ces populations, qui sont en rupture avec le gouvernement de Kiev, tandis que les puissances alliées soutiennent l'Ukraine, mais sans entrer dans une guerre ouverte qui risquerait de susciter une déflagration mondiale. À travers ce prisme, nous devons bien comprendre quels enjeux sont à l'œuvre. Les grandes tendances géopolitiques propres à chaque nation traversent les siècles et se prolongent dans ce conflit. En menant cette guerre et en annexant brutalement les régions de l'Est de l'Ukraine, la Russi...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHadrien Ghomi :

Faut-il que certains – à l'intérieur et à l'extérieur de cet hémicycle – aient la mémoire courte pour ne pas se rappeler que nous avons institué le bouclier tarifaire dès la fin de l'année dernière ! Dès le mois de mars, voyant les effets de la guerre sur l'évolution du prix des matières premières, le Gouvernement a pris des mesures de soutien avec le plan de résilience économique et sociale. Cet été, nous avons voté ici des mesures d'urgence pour soutenir le pouvoir d'achat des Français. Nous avons aussi agi au niveau européen, notamment pour réduire la dépendance de l'Union européenne au gaz russe grâce au plan REPowerEU, sans sacrifier notre ambition d'atteindre la neutralité carbone en 2050. Le Président de la République et notre...