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Interventions sur "peuple"

490 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAndrée Taurinya :

Mais ce n'est pas tout : il faudrait encore supprimer les régimes spéciaux, qui sont pour les puissants le fruit d'une autre aberration de l'histoire : les luttes des travailleurs unis. La tentative de division ne passera pas. Écoutez la colère gronder – elle grondera encore demain samedi. Écoutez dans les rues scander : « Le peuple uni jamais ne sera vaincu ! » Jamais le peuple ne se lassera de défendre ses droits, ses retraites.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Léaument :

Vous avez besoin de la droite sénatoriale pour la faire passer ! Vous êtes des hypocrites ! Vous voulez voler deux ans de vie aux citoyennes et aux citoyens, mais vous n'y arriverez pas : comme l'a très bien dit ma collègue Andrée Taurinya, quand le peuple est uni, il est invincible ! Or il est uni, avec les syndicats…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrédéric Petit :

Pour que le peuple – qui n'est pas la foule – puisse se prononcer, il doit être éclairé. Or vous avez mélangé plusieurs notions ; c'est grave, car nos concitoyens nous regardent. L'universalité des droits n'est pas l'universalité des montants. Vous confondez et mélangez tout ; votre proposition d'hier n'était pas une mesure d'équité.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrédéric Petit :

... technique, mais il est certainement le meilleur des systèmes par répartition, puisqu'il s'équilibre systématiquement au mois le mois. D'ailleurs, le plus grand régime de retraite complémentaire, celui de l'Agirc-Arrco, qui couvre une majorité de salariés et fonctionne très bien, est un système par points et par répartition. Opposer les deux systèmes, à points et par répartition, c'est enfumer le peuple ! Laissez-nous aller plus loin dans ce texte, que nous puissions nous exprimer sur les changements que nous voulons apporter ! Ces amendements n'ont aucune réalité : vos arguments vont à l'encontre des mesures que vous proposez.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFabien Di Filippo :

J'ose espérer, madame Panot, que l'ensemble des députés de la NUPES, qui sont ici par la volonté du peuple français, défendent effectivement son intérêt et ne sont pas simplement des apparatchiks à votre botte !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Je répondrai d'abord au collègue du groupe Les Républicains : avant d'être élus par le peuple, nous avons tous reçu l'investiture d'un parti ou d'une formation politique. Je suis fière que le mouvement dont je fais partie ait investi Rachel Keke, Caroline Fiat, première aide-soignante à siéger dans l'hémicycle, Mathilde Hignet, première ouvrière agricole dans le même cas, Laurent Alexandre, ouvrier dans l'aéronautique, et tant d'autres.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Reste que la question n'est pas là : nous professons en tout cas le plus profond irrespect pour votre politique. Vous avez déclaré la guerre au peuple : nous ne vous laisserons pas faire ! C'est cela qui est en jeu, car ceux dont j'ai cité les noms mesurent dans leur chair, dans leur vie, ce que représentent les deux années supplémentaires de travail que leur vaudrait votre réforme des retraites !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaErwan Balanant :

Vous qui proclamez sans cesse que vous êtes la voix du peuple, sachez que le Cese est aussi une certaine vision du peuple. Il représente la société civile constituée : il est constitué d'associations, de syndicats ou encore de représentants d'organisations patronales.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Paris :

S'ils veulent effectuer correctement leur travail, les députés doivent rencontrer les divers organismes – représentants d'entreprises, etc. Or n'est-ce pas la mission que vous attribuez au Cese ? Redonnons le pouvoir aux représentants du peuple que nous sommes.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRaquel Garrido :

Nous l'avons souvent dit, en démocratie, la minorité ne peut pas dicter sa loi à la majorité ; mais le fait que sept des dix groupes de la représentation nationale demandent que le règlement de l'Assemblée soit appliqué devrait, me semble-t-il, trouver écho dans votre sagacité et votre sagesse, madame la présidente. Respectons la démocratie, soyons dignes du peuple français qui nous regarde !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarine Le Pen :

cela signifie qu'en réalité, vous ne respectez pas les règles, mais cherchez à les tordre pour servir votre intérêt politique. J'ai une solution, que j'ai soumise à plusieurs responsables. À nos yeux, la motion référendaire est très importante, car il est fondamental que le peuple français puisse s'exprimer sur cette réforme des retraites : c'est le cœur de notre démocratie.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Pas pour brutaliser le peuple, monsieur le ministre ; pas pour lui dire, comme M. Véran, que 700 000 ou 1,3 million de personnes dans la rue, cela ne change rien ; pas pour lui dire, comme Mme Borne, que le recul de l'âge de départ à 64 ans n'est pas négociable, alors que le texte n'a pas encore été transmis à l'Assemblée nationale ; pas pour nous entendre dire que nous serions dans le déni, que nous voudrions « bordéliser » ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Pourquoi avons-nous été élus ? Les Français ont plus de discernement que vous : ils ont une idée précise de ce qui est bon pour tous. Magie de la macronie, qui décrète ce qui est bon pour le peuple sans lui, pour son bien contre son intérêt ! Ne vous réclamez pas de la majorité quand vous passez en force contre elle. Vous n'êtes, à cet instant, pas les représentants du peuple, mais d'une petite caste de ministres hallucinés par leur propre idéologie.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Les Français assistent aujourd'hui au délabrement d'un régime. La monarchie constitutionnelle veut qu'un homme, tout seul, condamne un peuple tout entier à deux ans ferme.