Les amendements de Inaki Echaniz pour ce dossier
66 interventions trouvées.
Pour participer à nos débats et contribuer à l'adoption de ces amendements, je fais remarquer à M. le ministre qu'il peut, s'il le souhaite, remplacer le terme « national » par « régional », puisque c'est le point qui, visiblement, le fait tiquer. Nous pourrons ainsi voter largement en faveur de cet amendement extrêmement utile.
Vous connaissez ma position sur la nécessaire évolution du protocole d'abattage, monsieur le ministre. Dans l'attente des mesures à venir, je vois cet amendement d'un œil favorable, tout en partageant une grande partie des observations de ma collègue Trouvé sur la réévaluation des indemnisations, notamment pour les races locales ayant une vocat...
Cet amendement de précision est cohérent avec l'engagement du Président de la République, en septembre 2022, de mobiliser des fonds publics pour soutenir le portage du foncier agricole. L'article 8 indique que l'État se donne comme objectif « d'accroître progressivement » cette mobilisation. Nous proposons de supprimer le mot « progressivement ...
Il convient de voter aujourd'hui cet amendement car il est essentiel. J'en profite pour évoquer, monsieur le ministre, une autre revendication du monde agricole : donner aux Safer la possibilité d'exercer un droit de préemption partiel. Une telle mesure, défendue notamment par Vincent Bru, du Modem, permettrait de prévenir le risque de spécula...
Ce rappel au règlement se fonde également sur l'article 100. Nous avons, comme Mme Genevard, dénoncé l'organisation des débats concernant ce texte, le projet de loi relatif à l'accompagnement des malades, la proposition de loi relative à la réforme de l'audiovisuel public – encore une fois examinée à marche forcée.
Rachida Dati a même fait circuler la rumeur que l'examen de ce projet de loi serait suspendu afin de faire adopter plus vite la proposition de loi, ce qui est assez déplorable, car, outre les points soulignés par Mme Genevard, il s'agit d'un texte essentiel pour l'audiovisuel public. Je remercie M. Maillard de nous avoir fait perdre dix minutes.
Pour le plus grand plaisir de M. le ministre, nous allons parler de pastoralisme ! La vocation première de cet amendement est en effet d'inscrire à article 8 le soutien aux modèles agricoles spécifiques comme le pastoralisme. Cependant, je profite de cet instant pour poser à nouveau la question que je vous ai posée tout à l'heure, monsieur le ...
Monsieur le ministre, c'est la deuxième fois que je vous interroge sur les préemptions partielles, j'aimerais obtenir une réponse, aussi courte soit-elle, plutôt que deux avis défavorables !
Le problème de la conchyliculture a été résolu, je ne vois pas pourquoi la question de la préemption partielle ne pourrait pas faire l'objet d'une réponse, d'autant qu'elle est également posée par le groupe MODEM.
Je salue M. le rapporteur, avec lequel j'ai échangé durant la semaine qui vient de s'écouler, car il est assis à côté de moi dans l'hémicycle quand il ne rejoint pas le banc des commissions. Mieux vaut deux fois qu'une, lui dirai-je : nous avons effectivement adopté l'amendement n° 2541 dans lequel figure le terme « licence », mais je préfère q...
Nous voterons l'amendement, même si je ne doute pas que si nous en avions été à l'origine, il nous aurait été reproché d'entrer excessivement dans les détails.
Je partage les préoccupations de M. Pradié : les petits vignobles comme l'Irouléguy ou le Jurançon subissent eux aussi les aléas climatiques, qu'il s'agisse du gel, de la grêle, du mildiou. Ces filières d'exception s'en trouvent d'autant plus fragilisées qu'elles sont de taille modeste et n'ont pas les reins assez solides pour surmonter l'accum...
Il n'est pas ici question de stigmatiser, ou de rallumer la guerre opposant public et privé, mais bien d'aborder la question du maillage, qui est précieux, et du rôle que joue la formation publique dans ce maillage. Cet amendement – je vous fais grâce du long exposé de ses motifs – vise à obtenir de votre part un engagement à flécher prioritai...
Nous soutenons cet amendement. Monsieur le ministre, vous ne nous avez pas répondu sur l'amendement précédent. Je ne doute pas qu'à ce stade, vous disposez de prévisions relatives aux ouvertures de places de formation et d'une vision fine du maillage territorial envisagé pour la rentrée de septembre. Quelles informations pouvez-vous nous donne...
Nous avons déjà voté un amendement qui vous amènera à présenter une évaluation des objectifs énoncés à l'article 2. Nous pourrions faire d'une pierre deux coups, avec deux présentations successives, l'une relative à l'article 2, l'autre à l'article 4. L'amendement à l'article 2 a été voté par nos collègues du groupe Les Républicains, que j'invi...
Dans la même logique, il s'agit de s'assurer que des partenariats sont développés entre les établissements scolaires, l'État et les régions.
Il devrait plaire non seulement à notre collègue Genevard, parce qu'il ne reprend pas le terme de genre, mais renvoie plutôt à la notion d'égalité entre les femmes et les hommes, mais aussi à M. le ministre, parce qu'il n'évoque pas les lycées agricoles, mais les filières de formation. L'amendement renvoie au débat de la semaine dernière, en vi...
…dans chaque filière, pour renforcer une présence féminine parfois trop faible. Et j'insiste sur ce point : nous ne reprenons pas le terme de genre, critiqué par Mme Genevard la semaine dernière, mais nous parlons bien des hommes et des femmes.
À l'école, au collège, au lycée général et technologique, les élèves ont la possibilité de suivre leur cursus en basque, en breton, en occitan, en alsacien, en corse, sous forme bilingue ou immersive, dans le public, dans le privé ou au sein d'une association.
C'est vrai de l'école maternelle au lycée, sauf dans l'enseignement agricole. Pourtant, ces langues territoriales existent ; elles sont au cœur du système agricole dans les territoires. C'est un outil de transmission et de formation par les pairs très utilisé. Les lycées agricoles, par l'intermédiaire de leur direction, de leurs élèves ou de l...