Les amendements de Benjamin Saint-Huile pour ce dossier
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Je vous remercie pour votre réponse, monsieur le ministre, mais reconnaissez que ce n'est pas suffisant. Je vous propose quelque chose de simple. Ne pourrait-on pas, dans cette belle maison, étudier l'hypothèse suivante : supprimer les cotisations salariales pour les bas salaires et ne les faire peser que sur les hauts revenus ? Voilà qui redon...
Le 10 novembre dernier, les partenaires sociaux sont parvenus à un accord portant sur une nouvelle convention assurance chômage de l'Unedic. Bien que financé, l'accord n'a pas été agréé par le gouvernement, au motif que le compte n'y était pas, et il a donné aux partenaires sociaux six mois supplémentaires pour aboutir. Dans le même temps, à g...
La réforme des retraites ne contenait rien au sujet de l'emploi des seniors, sinon quelques mesurettes qui ont été balayées par le Conseil constitutionnel ! Vous demandez toujours aux mêmes des efforts !
Vous avez réformé l'assurance chômage pour réduire la durée d'indemnisation des chômeurs, prolongé de deux ans la durée de cotisation des travailleurs avec votre réforme des retraites et décidé la conditionnalité du versement du RSA. On ne demande jamais aucun effort aux entreprises, on n'imagine jamais pour elles la moindre sanction, coercitio...
Ma question s'adresse au ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, ou à celui qui voudra bien me répondre. C'est la fin du « quoi qu'il en coûte ». M. Le Maire le scande régulièrement, comme s'il s'agissait d'une perspective immédiate, souhaitée et absolue : il faut désormais désendetter la France. D...
Vous le refusez ardemment ! Ma question est donc simple : n'en avez-vous pas marre de toujours faire des cadeaux aux mêmes, et de toujours presser ceux qui font la France ?
Madame la Première ministre, vous dites vouloir apaiser, pourtant vous ne faites aucun geste, aucun pas vers ceux qui vous tendent la main.
Le Président de la République a évoqué, la semaine dernière, une colère légitime, pourtant il est resté prostré dans son arrogance. Les Français, l'intersyndicale, les manifestants, les oppositions ne vous demandent qu'une chose : suspendre ou retirer – choisissez le terme – votre réforme.
Depuis l'utilisation improvisée du 49.3, l'escalade de la tension sociale est palpable : partout dans le pays, entre les manifestants méprisés, les forces de l'ordre épuisées, les groupuscules galvanisés. Les violences sont de plus en plus nombreuses. Nous les condamnons avec la plus grande fermeté.
Vous ne pouvez pas, vous ne devez pas faire le choix du pourrissement par tactique politicienne. Nous voulons le retour à la paix, le retour au calme. Avec humilité, saisissez la main de ceux qui prônent le dialogue, le respect et le compromis, Suspendez cette réforme !
Madame la Première ministre, vous êtes une femme d'État : vous connaissez votre responsabilité. Il n'y a pas de déshonneur à reconnaître une erreur. Tout comme ce n'est pas une défaite que de reconnaître un échec. La seule chose qui doit nous guider, c'est l'intérêt de la nation, l'intérêt des Françaises et des Français. Faites preuve de sagess...
La majorité présidentielle semble tenue par les engagements de son candidat, Bruxelles vous presse ardemment de prendre des mesures, et la droite hésite. Je rappelle à mes collègues de droite que quinze d'entre eux ont un mandat d'opposition, confié par les électeurs contre des candidats de la majorité présidentielle.
Qui veut de cette réforme ? Les organisations patronales, unanimes, vous applaudissent. Mais 70 % des Français n'en veulent pas. Ils étaient dans les rues à Foix, Auch, Maubeuge, Saint-Quentin, Hirson, Vannes, partout en France.
Nous voulons vous parler de l'emploi des seniors ! Nous voulons vous parler de l'égalité entre les hommes et les femmes ! Nous voulons vous parler de la prime de vie chère ! Créez les conditions d'un débat apaisé !
Une seule mesure cristallise l'incompréhension et la colère des Français : c'est le recul de l'âge légal de départ en retraite à 64 ans.
Retirez-la et créons les conditions d'un débat démocratique pour améliorer le quotidien de nos concitoyens, la balle est dans votre camp !
Nous pouvons parler de la réforme et de l'équilibre du système ; reconnaissez cependant qu'il ne s'agit pas d'une réforme des retraites, mais des finances publiques. Vous ne prenez pas en considération les questions relatives au capital ou au patrimoine.
Vous pensez, sans doute de bonne foi, faire preuve de courage, mais j'assimile votre courage à une surdité coupable : vous recourez à un processus inflammable, à un moment où les Français sont à bout. Je le dis aux oppositions de cet hémicycle : si nous sommes intelligents, ensemble, nous ferons plier le Gouvernement !
Hier soir, vers 19 heures, à Jeumont, dans le Nord – commune que j'ai eu l'honneur d'administrer pendant quatorze ans – un homme seul, armé d'un couteau et d'une feuille de boucher, est entré dans un supermarché. Au hasard de sa déambulation, il a frappé, agressé et blessé des hommes et des femmes alors qu'ils faisaient simplement leurs courses...
Dans le Nord et partout en France, l'émotion est grande et nous sommes, évidemment, sous le choc. Monsieur le garde des sceaux, pouvez-vous nous donner quelques éléments sur les premières investigations menées à la suite de cette attaque ? Pouvez-vous, ou non, confirmer le profil dit psychiatrique de l'auteur des faits ?