Publié le 13 octobre 2022 par : M. Guedj, M. Aviragnet, M. Califer, M. Delaporte, M. Philippe Brun, M. Baptiste, Mme Battistel, M. Mickaël Bouloux, M. David, M. Delautrette, M. Echaniz, M. Olivier Faure, M. Garot, M. Hajjar, Mme Jourdan, Mme Karamanli, Mme Keloua Hachi, M. Leseul, M. Naillet, M. Bertrand Petit, Mme Pic, Mme Pires Beaune, M. Potier, Mme Rabault, Mme Rouaux, Mme Santiago, M. Saulignac, Mme Thomin, Mme Untermaier, M. Vallaud, M. Vicot, les membres du groupe Socialistes et apparentés.
Compléter l’alinéa 4 par la phrase suivante :
« Ces rendez‑vous de prévention peuvent également donner lieu à des consultations de sensibilisation et de détection des troubles psychiatriques. »
Cet amendement du groupe des députés « Socialistes et apparentés » vise à introduire une thématique « troubles psychiatriques » dans les objectifs de la consultation de prévention prévue à 25 ans.
En effet, si le périmètre proposé est intéressant (information, éducation pour la santé, promotion de la santé et prévention), il ne prévoit pas de sensibilisation et de détection des troubles psychiatriques alors que la grande majorité des troubles psychiques sévères commencent entre 15 et 25 ans.
Il convient donc d’inclure cette thématique dans le périmètre du présent article.
Du point de vue de l’article 40 de la Constitution, cet amendement est tout à fait recevable puisqu’il ne crée pas de nouveaux rendez-vous de prévention, mais vient ajouter la possibilité d’y traiter de nouvelles thématiques.
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