Publié le 24 octobre 2022 par : Mme Rabault, Mme Pic, Mme Santiago, Mme Thomin, M. Aviragnet, M. Baptiste, Mme Battistel, M. Mickaël Bouloux, M. Philippe Brun, M. Califer, M. David, M. Delaporte, M. Delautrette, M. Echaniz, M. Olivier Faure, M. Garot, M. Guedj, M. Hajjar, Mme Jourdan, Mme Karamanli, Mme Keloua Hachi, M. Leseul, M. Naillet, M. Bertrand Petit, Mme Pires Beaune, M. Potier, Mme Rouaux, M. Saulignac, Mme Untermaier, M. Vallaud, M. Vicot.
Modifier ainsi les autorisations d'engagement et les crédits de paiement :
(en euros) | ||
Programmes | + | - |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation | 1 | 0 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale | 0 | 1 |
TOTAUX | 1 | 1 |
SOLDE | 0 |
Dans les documents budgétaires remis au Parlement, le Gouvernement fait apparaître un objectif dégradé de temps de traitement du flux des dossiers de pension militaire d'invalidité, passant de 230 jours en 2022 à 235 jours en 2023 (indicateur 2.1).
Par respect pour les anciens combattants, cette dégradation de l’objectif ne nous paraît pas acceptable. A noter que le temps de traitement représente tout de même plus d’une année de jours ouvrés, ce qui est incompréhensible.
Le présent amendement a pour objectif de demander un éclaircissement au Gouvernement et de l’inviter à revoir son objectif et d’allouer des moyens suffisants au traitement des dossiers.
Du fait de l’article 40 de la Constitution, les Parlementaires ne peuvent pas augmenter les charges de l’État. Aussi, le présent amendement tient compte de cette contrainte et est structuré sous forme d’un amendement d’appel.
Concrètement cet amendement procède à :
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.