Publié le 22 mai 2024 par : Mme Blin.
Supprimer cet article.
Alors que le patient est confronté à l’annonce d’une affection grave, cette disposition propose, concomitamment, de désigner une personne de confiance et de rédiger ou modifier ses directives anticipées en prévision de sa fin de vie.
Un tel procédé apparaît particulièrement violent et inadapté au regard de la situation tant il importe à ce stade de se donner tous les moyens de la guérison, alors même que rien n’indique que la personne serait en fin de vie.
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.