Publié le 18 octobre 2023 par : M. Neuder, Mme Bonnivard, M. Viry, Mme Corneloup, M. Jean-Pierre Vigier, Mme Tabarot, M. Seitlinger, M. Breton, M. Pauget, M. Descoeur, Mme Petex-Levet, M. Juvin, M. Bazin, M. Dubois, Mme Louwagie, M. Bourgeaux, M. Brigand, M. Vincendet, M. Taite, M. Bony, M. Hetzel, Mme Valentin.
I. – À l’alinéa 7, après le mot :
« médico-social »,
insérer les mots :
« d’un laboratoire de biologie médicale, ».
II. – En conséquence, à l’alinéa 10, après le mot :
« médicaux »,
insérer les mots :
« , des biologistes médicaux ».
Les biologistes médicaux sont pleinement impliqués dans plusieurs expérimentations dite « article 51 », notamment dans la prise en charge coordonnées de maladies chroniques comme la maladie rénale chronique.
Pourtant, du fait de l’absence des biologistes médicaux, tous pharmaciens ou médecins de formation, de la liste des professionnels de santé figurant au Code de la Santé publique, la rédaction actuelle du dispositif proposé par le Gouvernement conduirait à laisser ces professionnels de côté des nouveaux parcours coordonnés renforcés.
C’est d’autant plus dommage que cela empêcherait ce nouveau dispositif de s’appuyer sur le maillage territorial des laboratoires de biologie médicale, présents sur tout le territoire, y compris dans les zones les moins denses en professionnels de santé.
L’amendement proposé vise donc à les intégrer explicitement à la liste des professionnels pouvant prendre part aux parcours coordonnés renforcés.
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