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Interventions sur "président"

344 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Gosselin :

...e la loi du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence ou de celle du 9 août 1849 sur l'état de siège, ou d'un autre modèle à inventer. Peut-être conviendrait-il tout simplement de tirer le bilan des deux ans et demi d'état d'urgence sanitaire et de sortie de crise. C'est ce que propose l'amendement, dans un délai de trois mois, qui correspond au rendez-vous fixé avec le ministre de la santé et la présidente de la CNIL.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Pour y parvenir, tout mon gouvernement est mobilisé. Le Président de la République m'a chargée de la planification écologique ; chaque ministre aura une feuille de route « climat et biodiversité ».

Élisabeth Borne, Première ministre :

Je le sais, cette transition peut parfois provoquer des craintes, émanant notamment des salariés des secteurs en mutation. Madame la présidente Chatelain, monsieur le président Bayou, nous en avons parlé et nous y tenons comme vous.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Alors, au cœur de l'engagement du Président de la République et de mon gouvernement, se trouve une volonté de briser les inégalités de destin, de n'accepter aucune assignation sociale ou culturelle, de permettre à chacun de choisir son avenir, de tracer les chemins de l'émancipation.

Élisabeth Borne, Première ministre :

…adapter leur formation, soutenir les projets collectifs. Mais il serait illusoire de croire que les solutions seraient identiques partout sur tous les territoires. L'égalité réelle, c'est adapter notre action en fonction des situations locales et des besoins des élèves. Le plan « Marseille en grand », lancé l'an dernier par le Président de la République, a ouvert la voie….

Élisabeth Borne, Première ministre :

C'est pourquoi, avec le Président de la République, nous avons souhaité que le Gouvernement comprenne un ministre de la santé et de la prévention. C'est un défi que l'État ne peut pas relever seul. Nous travaillerons avec les élus – en particulier les maires qui sont nos partenaires privilégiés.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Bâtir la République de l'égalité des chances, c'est réussir la cohésion des territoires. Avec les territoires et leurs élus, nous voulons une relation fondée sur le respect, le dialogue et l'action. C'est une préoccupation partagée. Nous en avons beaucoup parlé ensemble, monsieur le président Marcangeli, monsieur le président Chassaigne.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Nous avons investi pour redynamiser les centres-villes et les centres-bourgs et pour accélérer le renouvellement urbain. Mon gouvernement poursuivra la logique de différenciation partout où elle répond aux attentes. Monsieur le président Pancher ,

Élisabeth Borne, Première ministre :

Nous voulons une gendarmerie et une police républicaine au plus près des Français, qui attendent des réponses fortes pour leur sécurité du quotidien. Nous en parlions ensemble, madame la présidente Bergé.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...rutements, en allégeant les procédures et en les modernisant. Une profonde réforme de l'investigation sera lancée, avec une formation plus longue, le passage obligatoire de l'examen d'officier de police judiciaire et la création des assistants d'enquête. La réponse passe aussi par l'efficacité de la justice, par des décisions rapides et respectées. Les états généraux de la justice, lancés par le Président de la République, ont montré qu'il fallait des moyens supplémentaires et des méthodes nouvelles, qu'il fallait répondre à la crise de confiance de nos concitoyens, aux attentes fortes des professionnels et garantir, toujours, l'indépendance de la justice. Mon gouvernement vous proposera une loi de programmation pour la justice. Nous voulons notamment recruter 8 500 magistrats et personnels de ju...

Élisabeth Borne, Première ministre :

Comme le Président de la République l'a annoncé, nous vous proposerons de baisser encore les impôts de production et de supprimer la CVAE, la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises, dès la loi de finances pour 2023.

Élisabeth Borne, Première ministre :

.... Le précédent quinquennat a déjà permis un effort sans précédent depuis la fin de la Guerre froide : nous avons respecté l'exécution de la loi de programmation militaire, modernisé nos infrastructures, mené un renouvellement massif de nos équipements et lancé les grands programmes d'avenir comme celui du nouveau porte-avions. Nous devons maintenant poursuivre et amplifier cet investissement : le Président de la République annoncera prochainement les contours d'une nouvelle loi de programmation militaire.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...s notre rôle. Nous agirons en cohérence avec nos ambitions européennes et avec nos alliés de l'OTAN. Il s'agit aussi de fortifier la résilience de la nation et, par l'accroissement de la réserve, par des actions auprès de notre jeunesse, par le travail sur la mémoire et par l'attention portée aux anciens combattants, de renforcer le lien entre l'armée et la nation. La France, sous l'impulsion du Président de la République, devra enfin tenir toute sa place sur la scène internationale. Cela veut dire plus d'efforts en matière de solidarité internationale, une ambition accrue pour les défis globaux comme la santé ou le changement climatique ; cela veut dire aussi poursuivre le renouvellement de notre relation avec l'Afrique par le dialogue, par les partenariats et par le travail de mémoire. Madame l...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

Soyez assurés que nous saurons user de nos nouvelles responsabilités avec bienveillance, mais surtout avec pugnacité. Ce qui nous intéresse, ce n'est pas d'être les premières, mais de nous inscrire dans le temps long. Madame la Première ministre, vous venez de nous exposer la feuille de route que vous fixez au Gouvernement. Il me revient, en tant que présidente du principal groupe de l'Assemblée, de préciser nos intentions et l'état d'esprit qui nous anime alors que nos concitoyens s'interrogent légitimement sur notre capacité, majorité comme oppositions, à adapter les pratiques parlementaires à la nouvelle donne politique qu'ils ont choisie. Nous sommes collectivement dépositaires d'un héritage, la Constitution de la Ve République...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

Fidèles à ceux qui l'ont fait évoluer : Jacques Chirac, Lionel Jospin, Nicolas Sarkozy. Fidèles au subtil équilibre des pouvoirs prévu par notre texte fondamental : un président légitime, un gouvernement qui a les moyens d'agir, une Assemblée nationale ayant la capacité à légiférer en toute liberté. Voilà notre cadre commun : non pas le blocage ni l'idée bien peu républicaine que les résultats des élections peuvent être contestés dans la rue ,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

…mais cette Ve République qui nous fait, qui nous tient et que, dans cette majorité présidentielle, nous voulons faire vivre. Face aux temps présents, nous devrons de nouveau en faire évoluer l'usage, car les attentes de nos concitoyens sont fortes, notamment s'agissant de leur association aux processus de décision. Mais faire évoluer, ce n'est pas déconstruire ; améliorer, ce n'est pas trahir les intentions des constituants de 1958. Le débat d'aujourd'hui nous offre l'occasion de clarifi...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

Il y a ceux qui veulent abattre la Ve République et ceux qui veulent la faire vivre pleinement ; nous sommes de ceux-ci. Nos institutions constituent le socle de notre action. Elles sont, bien au-delà des bancs de la majorité présidentielle, notre bien commun. Les 10 et 24 avril, puis les 12 et 19 juin, les Français ont fait leur choix : celui d'un président fort, largement réélu

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

Il faudra rééquilibrer l'initiative législative entre propositions et projets de loi, au bénéfice du Parlement ; notre groupe y veillera. À tout cela, nous sommes prêts, je suis prête. Le choix des Français commande ensuite que nous rassemblions autour d'un grand dessein capable de fédérer, au-delà de la majorité présidentielle, tous ceux qui, ayant fait d'autres choix ou s'étant abstenus, se reconnaissent dans la République – non pas une République inerte qui, à force d'immobilisme, finit par se recroqueviller, mais une République d'action qui retrouve sa capacité à changer la vie.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

...ne dette publique contenue puis réduite. Il faut continuer à renforcer notre Europe, une Europe plus forte et plus souveraine, capable de résister aux nouveaux empires et aux nouveaux défis environnementaux, technologiques, sanitaires, migratoires, qui ne connaissent pas les frontières. La présidence française de l'Union européenne a démontré notre capacité d'action collective sous l'impulsion du Président de la République : taxe carbone aux frontières, régulation des grandes plateformes numériques et solidarité indispensable avec le peuple ukrainien qui lutte pour sa liberté.