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Je le dis solennellement : après avoir voté une première fois, les députés du Rassemblement national ne voteront pas la seconde motion de censure déposée par la NUPES.
Un artifice qui n'a qu'un seul objectif : l'obstruction – car vous n'aimez que cela. Malgré tout, madame la Première ministre, permettez-moi de rappeler les raisons pour lesquelles nous avons soutenu la première motion de censure. Tout d'abord, nous, députés du Rassemblement national, avons fait le choix de sanctionner votre recours abusif au 49.3.
Madame la Première ministre, aujourd'hui, deux motions de censure ont été déposées. Pourquoi ? Parce que, faute de pouvoir faire adopter votre budget par l'Assemblée nationale, vous avez été contrainte d'engager la responsabilité de votre gouvernement. La loi de finances suppose des choix ; or, malgré notre volonté de permettre au pays d'avancer, nous ne partageons pas vos choix. Nous ne partageons pas votre recours systématique à la dette. Vous n'aimez pas q...
Une motion de censure sert à constater que le Gouvernement ne dispose pas de la majorité. Ce n'est pas une surprise : nous le savons tous, sur tous les bancs de cette assemblée, depuis le premier jour. Ainsi en ont décidé les Français qui ont volontairement placé le Président de la République en face d'une assemblée dans laquelle il n'a pas la majorité.
En déposant, puis en votant tout à l'heure la motion de censure contre le Gouvernement, nous, députés du Rassemblement national, avons fait le choix de rester une opposition digne, ferme et constructive.
Soyons clairs : nous ne nous associerons pas à la France insoumise et au RN, et nous ne voterons pas ces motions de censure.
car nous n'hésitons pas, contrairement aux Républicains, à dire aux ministres ce que nous pensons de leur politique ; et car nous votons la censure contre le Gouvernement lorsque l'intérêt national l'exige, au contraire, encore une fois, des Républicains. Nous sommes une véritable opposition.
spéculer sur l'effondrement du pays est le calcul de ceux qui préfèrent le désordre – on l'a vu jusque dans notre assemblée –, pas le nôtre. Il y va de notre responsabilité de ne pas ajouter à l'inflation et à la récession que les Français doivent affronter, une instabilité politique qui paralyserait le pays. Ces motions de censure, personne n'y croit donc vraiment aujourd'hui, à commencer par ceux qui les ont déposées.
En témoigne notre refus de voter cette seconde motion de censure inutile, après avoir voté la première.
Ces deux motions de censure, déposées par nos collègues de la NUPES et du Rassemblement national, étaient attendues, puisque ceux-ci avaient déclaré, avant même de connaître les mesures contenues dans le projet de loi de finances, qu'ils voteraient contre celui-ci
Voilà où nous en sommes aujourd'hui. Nous ne craignons rien, et surtout pas le peuple. Le président Macron nous a menacés de dissolution si cette motion de censure était adoptée ; chiche ! Retournons donc aux urnes ! Nous trouverons une nouvelle majorité politique. Nous ne nous laisserons pas enfermer dans la Constitution de la V
Cette mesure de justice aurait représenté pour les plus modestes de nos aînés un secours d'environ 200 euros par mois. Dans un cas comme dans l'autre, l'Assemblée souveraine s'est heurtée à votre refus obstiné ! Néanmoins, je le dis sans ambages, jamais nous ne formerons de majorité en nous alliant au Rassemblement national ; jamais nous ne voterons pour une motion de censure qui en émane.
Pour notre part, nous sommes responsables. Nous préférons l'action au blocage et nous ne voterons donc pas en faveur de cette motion de censure. Personne ne sortirait gagnant de son adoption, et certainement pas les Français.
...ver sera crucial pour la France, pour l'Europe et même pour l'Occident. Dans un contexte de tensions entre des partenaires européens historiques, des négociations intenses doivent être menées pour défendre les intérêts de la France et des Français. Nous ne pourrons pas y arriver si notre pays est paralysé par un processus électoral. Nous avons donc fait le choix de ne pas soutenir cette motion de censure,…
Ses menaces de dissolution ne nous impressionnent pas. S'il le faut, nous sommes prêts à retourner devant les électeurs. Nos convictions passent avant nos mandats. Nous l'avons montré au mois de juin dernier en restant fidèles à nos valeurs. En outre, nous n'aurons aucune hésitation à déposer une motion de censure le jour où ce sera dans l'intérêt du pays. Aujourd'hui, nous nous battons pour le redressement de la France : nous n'en serons pas les fossoyeurs. Nous sommes attachés à notre ligne de conduite. Notre seul guide est et restera l'intérêt de la France et des Français.
Nous voici réunis pour débattre d'une nouvelle motion de censure après l'engagement de la responsabilité du Gouvernement sur la troisième partie du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023. Je n'irai pas par quatre chemins : jeudi, en milieu d'après-midi, j'étais furieux ! Peut-être certains ont-ils entendu ma colère dans les salons à proximité de l'hémicycle. L'article 1er du PLFSS, c'est-à-dire le compte administratif qui retrace les opé...