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Lors de la crise sanitaire, notre majorité a instauré le repas à 1 euro pour les étudiants, dans les Crous. Cette mesure a permis à de nombreux étudiants frappés par la pandémie de bénéficier de deux repas complets chaque jour. Vous avez dernièrement gelé le tarif de la restauration universitaire à 3,30 euros pour les étudiants non boursiers et à 1 euro pour les boursiers. La pérennisation de ce dispositif représente un véritable soutien pour notre jeunesse. Cependant, certains étudia...
...vent être maintenues. Ces aides essentielles sont attribuées pour trois ans aux bacheliers boursiers et méritants. Elles peuvent être renouvelées d'année en année si cela est nécessaire. En cas de redoublement, les bourses ne sont maintenues qu'à condition que l'échec s'explique par des raisons médicales, sauf dans le cas d'études médicales ou de classe préparatoire. Les académies dont le taux d'étudiants boursiers est plus important bénéficient-elles d'un contingent de bourses au mérite plus élevé ?
...ortant. C'est le lieu où nos jeunes se rendent chaque jour pour étudier, ils font partie de l'image que nous pouvons renvoyer de notre pays à l'étranger et participent de son attractivité. Surtout, ils nous placent face au défi de la rénovation énergétique et de la modernisation. Disposer d'ensembles universitaires performants est la première condition de l'égalité des chances, de la réussite des étudiants et de l'excellence de la recherche. Pourtant, plusieurs universités peinent à obtenir une attention particulière pour des travaux urgents de modernisation. Un tiers du patrimoine de l'université de Lille est très dégradé, voire inutilisable. Des amphithéâtres sont fermés du fait de l'absence de maintenance ou de mise aux normes. Pas moins de 200 millions d'euros seraient nécessaires mais, faute ...
Je suis consterné par les dégradations qu'a subies le Crous de Toulouse, le 18 avril dernier. Les deux self-services de l'université Jean-Jaurès ont également été saccagés. Leur pillage est injustifiable. Espérons que les responsables soient retrouvés et qu'ils réparent les dommages qu'ils ont causés car les Crous participent à la lutte contre la précarité étudiante. Vous avez récemment annoncé des moyens pour renforcer le dispositif des bourses étudiantes. Une réforme systémique devrait suivre pour revoir les critères d'attribution. La base de calcul de cette prestation à N-2 sera-t-elle abandonnée ? Elle pénalise les familles confrontées à des changements soudains de situation. Prévoirez-vous également de repenser le critère kilométrique, qui ne renseig...
Nous accueillons M. Jean-Baptiste Achard, cofondateur et dirigeant de la plateforme StaffMe, dont le mot d'ordre est : « Du renfort sans effort ». StaffMe est une plateforme lancée en mai 2016 qui proposait à l'origine de mettre en relation des étudiants, ayant le statut d'indépendant, avec des entreprises pour la réalisation de tous types de missions temporaires (hôtessariat, service client, vente, logistique). En 2022, l'entreprise StaffMe a été rachetée par le leader de l'intérim, House of HR. Aujourd'hui, cette plateforme a élargi son activité au secteur de l'intérim et permettrait à plus de 550 000 staffers de trouver facilement, je...
Avez-vous établi le même nombre de contraintes ou de limites sur le nombre d'heures pendant lesquelles un étudiant peut travailler avec cette même entreprise pendant ces trois mois ?
Comment s'effectue la rémunération des indépendants ? Les entreprises vous payent-elles avant que vous ne rémunériez les étudiants ? Êtes-vous simplement une plateforme de mise en relation ? Quelle est votre commission ?
Évaluez-vous les étudiants de la plateforme ? Les entreprises vous font-elles part de leur retour d'expérience ? Pouvez-vous être conduits à retirer de la plateforme des étudiants, le cas échéant ?
Quand l'étudiant arrive sur la plateforme, la règle du « premier arrivé, premier servi » s'applique. Il n'y a donc pas d'adéquation entre les compétences de l'étudiant et celles requises pour la prestation. Mais au fur et à mesure de son expérience sur la plateforme et du profil qu'il se bâtit à partir des notes qu'on lui attribue, aura-t-il plus ou moins accès à des offres ? Gardera-t-il la même chance d'accéder...
Les secteurs que vous couvrez concernent notamment la vente, le marketing, les tâches administratives. Cela me rappelle les jobs que j'ai pu effectuer lorsque j'étais étudiante. Or je les réalisais sur la base de contrats de travail, ce qui m'a permis de cotiser pour la retraite. J'ai retrouvé des propos que vous avez tenus dans un média. Vous indiquiez que « la fin du salariat est une fable. Les entreprises auront de plus en plus recours aux freelancers , mais cela ne correspond qu'à certains moments de la vie […]. Et puis nous soutenons une sécurisation du...
Je suis en total désaccord avec une partie de vos propos. Je pense en effet que seul le code de travail permet de générer plus de droits et de protections pour les salariés. Vous avez développé StaffMe Freelance pour les étudiants en statut d'autoentrepreneur sur des missions très courtes, mais vous avez aussi mis en place StaffMe Intérim. Vous constatez bien que les entreprises font état d'un besoin ponctuel, qui relève normalement de l'intérim. Comment envisagez-vous la concurrence entre la situation d'intérimaire et celle de l'autoentrepreneuriat ?
J'associe à cette question mes collègues Anne Brugnera et Christine Le Nabour, engagées de longue date dans ce domaine. Madame la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, vous avez lancé mercredi la première étape de la réforme des aides sociales étudiantes. Merci d'avoir tenu cette promesse !
Pour autant, l'État n'a pas attendu pour soutenir ses étudiants. Certains semblent l'avoir oublié, mais c'est bien notre majorité qui, en pleine période de covid-19, a instauré le repas à 1 euro !
C'est encore notre majorité qui l'a étendu à tous les étudiants boursiers ainsi qu'à tous les étudiants précaires qui en font la demande par l'intermédiaire du Crous, le centre régional des œuvres universitaires et scolaires. C'est encore et toujours notre majorité qui a modifié un barème qui n'avait pas évolué depuis dix ans. Cette réforme est le fruit d'une concertation engagée depuis octobre par le Gouvernement avec l'ensemble des organisations représent...
Pas moins de 35 000 étudiants supplémentaires issus des classes moyennes deviendront boursiers à la rentrée, grossissant les rangs des 700 000 boursiers actuels. Chacun d'eux sera dispensé de frais d'inscription et de CVEC – contribution de vie étudiante et de campus –, bénéficiera du repas à 1 euro et sera prioritaire pour l'attribution d'un logement par le Crous.
Nous aidons les jeunes en revalorisant de 37 euros chaque échelon des bourses étudiantes et en faisant accéder 140 000 boursiers à l'échelon supérieur pour prendre pleinement en compte leur situation familiale, leur permettant ainsi de toucher 66 à 127 euros supplémentaires par mois. Étant donné que ces étudiants sont notre avenir, pouvez-vous, madame la ministre, nous dire comment s'organisera la seconde étape de cette consultation ?
Vous devriez avoir honte ! Les étudiants manifestent à proximité de l'Assemblée nationale et vous ne les voyez pas !
...est-à-dire qu'il a triplé, avec une hausse particulièrement drastique lors des deux dernières années. Comme vous le savez, environ trois quarts de ces personnes sont des femmes, car les femmes sont toujours les premières victimes, souvent dans l'indifférence générale – certains collègues l'illustrent en ricanant ! Les bénéficiaires incluent également un nombre croissant de travailleurs pauvres, d'étudiants et de retraités, comme me l'a rappelé hier la banque alimentaire du Bas-Rhin. En somme, il s'agit de toutes les catégories que vos réformes affectent directement. Dans les supermarchés, les prix explosent : le taux d'inflation avoisine 17 %, et atteint même 30 % lorsqu'il s'agit des aliments premier prix. Le cercle vicieux de l'inflation bat son plein : la pauvreté se massifie et l'alimentation...
L'agitation populaire persiste et signe partout dans le pays. Les étudiants et étudiantes de Nanterre, Dauphine, la Sorbonne, Paris 8, Versailles, Cergy et Sciences Po en Île-de-France, mais aussi Lille, Pau, Nice, Poitiers, Toulouse, Grenoble, Tours, Bordeaux, Caen et Nantes sont entrés en lutte.
En France, les établissements de l'enseignement supérieur privé accueillent une part croissante des étudiants, contribuant à absorber la hausse générale des effectifs de l'enseignement supérieur. En 2020, 560 000 étudiants étaient inscrits dans un établissement d'enseignement supérieur privé en France ; cela représente 21 % des étudiants, soit un cinquième. En faisant un petit zoom arrière, l'on s'aperçoit que les pratiques trompeuses de certains établissements de l'enseignement supérieur privé, après ...