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Nous ne croyons pas une seule seconde à une Macronie qui retrouve la raison. Vous avez présenté votre feuille de route, celle du dépôt de bilan de M. Emmanuel Macron ; voici la nôtre. Cette semaine, nous avons présenté notre deuxième proposition de loi commune à la Nouvelle Union populaire écologique et sociale :
avec un Président de la République dont nous contestons les orientations chancelantes depuis 2017 s'agissant de la dette, de l'énergie, de la souveraineté agricole et industrielle, de la sécurité, de l'immigration, de la transition écologique.
...server notre environnement. Nous le devons aux générations futures. Le Haut Conseil pour le climat évalue l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre à 6,4 % depuis l'an dernier, malgré une baisse tendancielle de 23 % par rapport à 1990. Signe de l'importance de cette prise de conscience au plus haut sommet de l'État, vous êtes, madame la Première ministre, en charge de la planification écologique et énergétique. Vous avez d'ailleurs déjà annoncé, pour le début de 2023, une nouvelle loi de programmation pour le climat. C'est pourquoi notre groupe soutiendra le programme ambitieux proposé par le Président de la République en matière d'action climatique. Nous nous attacherons, avec vous, à atteindre la neutralité carbone en 2050, à rénover 700 000 bâtiments, à végétaliser les villes, à consa...
...désert médical, 6 millions demeurent sans emploi stable et 300 000 d'entre eux sont sans domicile fixe ; 20 % de nos compatriotes vivent à découvert. Les températures augmentent en même temps que la biodiversité s'effondre. Nous avons touché les limites du monde tel qu'il a prévalu jusqu'à aujourd'hui, menacé par l'injustice et la démesure, et en définitive par la précarité économique, sociale et écologique où nous a entraînés l'ère néolibérale.
Nous plaidons pour une politique écologique et sociale du logement, pour la massification de la rénovation thermique des logements afin de sortir en dix ans les Français de la précarité énergétique, pour une écologie populaire planifiée au lieu d'un effondrement brutal afin de permettre aux Français de mieux vivre, de mieux se loger, de mieux se nourrir, de mieux se déplacer. Nous défendons la République jusqu'au bout, celle de Jaurès, cel...
Nous défendons l'accès à l'éducation par la mixité scolaire, que vous n'avez jamais défendue. Ces propositions, comme bien d'autres, nous les avons formulées et elles sont sur la table. C'est le sens de la proposition de loi sur le pouvoir d'achat que nous avons déposée avec la Nouvelle union populaire écologique et sociale.
La transition écologique ne constitue toujours pas le cœur des politiques publiques. Je vous le dis plus clairement encore : madame la Première ministre, votre projet a cinquante ans de retard !
Nous devons aussi remettre en cause les règles budgétaires européennes pour recréer un État qui planifie et investit dans la transition écologique, dans notre système éducatif sacrifié et dans la restauration de notre système de soins, dont l'extrême dégradation tétanise notre peuple à l'aube d'un été que tous les professionnels de santé prédisent comme dramatique en raison du manque de personnels.
Je le disais, les Français attendent des mesures exceptionnelles et urgentes pour repenser l'offre de soins et refonder un hôpital à bout de souffle ; pour accélérer la transition écologique ; pour que soit votée, enfin, au profit de nos personnes âgées, abandonnées, une grande loi sur l'autonomie et la dépendance, trop de fois repoussée. J'ai entendu également votre engagement pour l'autonomie des personnes en situation de handicap. Nous avons défendu, ces dernières années, contre le précédent gouvernement, un projet de déconjugalisation de l'AAH. Cette réforme doit être menée. Pa...
Défiance face à M. Béchu, nommé ministre de la transition écologique, alors qu'on le connaît davantage pour ses prises de positions réactionnaires contre le mariage pour tous et pour l'interdiction dans sa ville des campagnes anti-sida, que pour sa lutte contre le dérèglement climatique et l'interdiction des néonicotinoïdes tueurs d'abeilles.
Nous serons toujours moteurs pour avancer sur les questions de climat et de justice sociale. Je ne prends qu'un exemple, celui de la surtaxation des profits des sociétés pétrogazières, ces multinationales, ces nouvelles profiteuses de guerre, profiteuses de la crise écologique qui s'enrichissent sur le dos des plus démunis. Surtaxons-les ! Que chacun paie sa juste part, voilà l'urgence ! Que les surprofits des pollueurs soient surtaxés et reversés aux plus vulnérables, voilà la transition écologique dans la justice sociale !
Cette transformation va s'imposer à tous : à l'État, aux collectivités et dans la vie quotidienne de chacun d'entre nous. Le temps presse. Parfois, la transition écologique peut percuter des citoyens, des salariés, des entreprises. Tous les arbitrages ne sont pas si simples. Ma conviction est que, dans ce cas, seules peuvent nous sortir de l'ornière la transparence vis-à-vis de nos concitoyens et une démarche résolue. C'est celle qui a présidé à l'action du Gouvernement depuis 2017 ;
Vous cherchez à censurer un gouvernement qui commence son travail avec quelques principes de fond que j'ai rappelés – pouvoir d'achat, valorisation du travail, transition écologique, égalité des chances, souveraineté – et avec pour méthode le dialogue et l'échange ; la confrontation aussi, sans doute.
...rence Maillart-Méhaignerie, qui a œuvré pour la commission après Mme Barbara Pompili – et nous savons tous que c'était une tâche complexe. Je tenterai d'être à la hauteur, en reprenant vos méthodes, chère Laurence. Je vous remercie. Notre commission a un rôle central à jouer au regard des enjeux sociétaux actuels et j'œuvrerai à vos côtés pour que l'on puisse débattre des enjeux de la transition écologique mais aussi de l'aménagement du territoire, dans le respect des principes républicains.
Nous en venons à l'élection des quatre secrétaires de la commission. Quatre candidats se sont fait connaître : Mme Nathalie Bassire, pour le groupe Libertés, indépendants, outre-mer et territoires, M. Jean-Luc Fugit, pour le groupe Renaissance, M. Loïc Prud'homme, pour le groupe La France insoumise – Nouvelle Union populaire, écologique et sociale, et Mme Anne-Cécile Violland, pour le groupe Horizons et apparentés.