Je suis également candidat à un poste de secrétaire.
Je retire ma candidature au profit de celle de M. Fabien Di Filippo.
À partir de 2026 !
Tout va très bien, madame la marquise !
Et quand vous avez fermé Fessenheim ?
Et Édouard Philippe, vous n'en parlez pas ?
Vous avez dégradé l'école.
C'est la catastrophe, les remplacements !
Tous les exclus du Ségur !
Ça ne fonctionne pas !
Vous n'avez plus aucune crédibilité sur ces questions !
C'est abyssal !
Bientôt ce sera le président Chassaigne !
Les intérêts de la dette s'élèvent, en 2021, à 36,3 milliards d'euros, ce qui représente presque le budget de la défense. Dans son rapport, le Haut Conseil des finances publiques pose la question de la soutenabilité de la dette publique et de la réduction du déficit structurel. En effet, si l'on suit la trajectoire du quinquennat précédent, le montant des intérêts de la dette pourrait doubler en très peu de temps. Pouvez-vous nous dire un mot de la soutenabilité de la dette publique ?
Dommage que vous n'ayez pas été ministre plus tôt…
Il n'est jamais là, Bruno Le Maire !
Rien de structurel, monsieur Attal !
Il va nous endormir, c'est sûr !
Il va lire la même fiche pour la troisième fois !
Sauf qu'ils sont minoritaires ! Vous ne semblez pas l'avoir compris !
Vous ne pensez pas la même chose que M. Le Maire, manifestement ! Il faudra accorder vos violons !
Très juste !
C'est une dérive !
Nous ne l'avons pas voté !
Il faut l'avis du ministre !
Eh oui, alors que le Conseil des ministres avait lieu le 26 juin, c'est une méthode scandaleuse !
Cela montre que le Gouvernement n'a rien compris !
Très bonne idée !
Mais la commission y était favorable !
Excellent !
Oui, on attend toujours des réponses !
C'est vrai !
Vous avez évoqué les écarts marqués entre pays en matière d'endettement public, citant l'exemple de la France et de l'Allemagne au cours des quinze dernières années. La situation devient critique pour la France : l'écart s'est creusé et il va falloir rechercher de nouveau la convergence. Vous souhaitez une « loi de programmation crédible et globale ». Quels seraient les éléments constitutifs d'une telle crédibilité ? Dans ce que vous nous présentez au sujet du projet de loi de finances rectificative, on voit bien que les prévisions ont été faites par le Gouvernement au doigt mouillé.
Oui, parce qu'il ne s'agit plus d'un passe sanitaire !
Il y a un vrai paradoxe, monsieur le ministre. Nous sommes en train de débattre du sujet suivant : dans certains cas, une personne peut transmettre le virus tout en étant vaccinée – vous venez vous-même de le reconnaître, il y a quelques instants, depuis les bancs du Gouvernement. Les études dont il est fait état montrent que lorsque quelqu'un a un taux d'anticorps très élevé, la probabilité de transmettre le virus tend vers zéro, pour ne pas dire qu'elle est nulle. La question est bien celle-là, même si vous semblez vouloir l'éluder ; il n'y a pas de débat scientifique. Les scientifiques le disent : lorsque le taux d'anticorps est élevé, le risque de ...
Monsieur le ministre, vous faites référence à un texte réglementaire. En effet, un décret régit le périmètre des contre-indications. Or, comme l'a indiqué fort pertinemment notre collègue Le Fur, dans nos circonscriptions, des citoyens se trouvent dans des situations qui relèvent d'une contre-indication selon leur médecin mais qui ne sont pas couvertes par le champ du décret. Il serait pertinent que vous nous expliquiez pourquoi ce champ est aussi restrictif car beaucoup de médecins s'en plaignent.
Cette demande de rapport concerne évidemment l'exécution du budget 2021. Je remercie M. le ministre délégué d'avoir justifié ces annulations de crédits. Ayant été rapporteur spécial de la mission "Justice" , je vous renvoie au rapport spécial sur le budget 2021 dans lequel je prévenais contre les effets d'annonce en disant : « Vous verrez, il y aura énormément d'annulations de crédits. Tout cela, c'est de la communication gouvernementale », ce que vous venez de reconnaître, puisque vous n'avez pas consommé tous les crédits annoncés. Le garde des sceaux parle régulièrement de créations de postes ; or, quand on y regarde de près, les postes ne sont pas ...
Cela fait des années, et rien n'est fait.
En réalité, il y a urgence à prendre des mesures en faveur du pouvoir d'achat. Nous pouvons admettre la nécessité de certaines négociations, mais vous-mêmes semblez ne pas vouloir entendre qu'il importe d'agir rapidement. En jalonnant d'obstacles le parcours du texte, vous faites exactement le contraire de ce que vous affirmez dans l'hémicycle : vous empêchez des salariés de percevoir des revenus supplémentaires.