Les amendements de Marine Le Pen pour ce dossier

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Il faut en tirer les conséquences et changer de politique. Cela passe notamment – mais pas seulement – par le vote de cet amendement. Comme l'a fait M. Le Maire mardi, vous expliquez régulièrement, monsieur le ministre délégué, que nous serions les meilleurs pour attirer des investisseurs étrangers ; ils feraient des investissements spectacula...

Pardon, mais cela m'ennuie de le laisser courir systématiquement. Un rapport du cabinet Ernst & Young – qui n'est pas l'ami du Rassemblement national, mais plutôt le vôtre – indique que la France a créé 30 000 emplois industriels par le biais des investissements étrangers, alors qu'il s'en est créé 60 000 au Royaume-Uni, 45 000 en Allemagne et...

Cessez donc de répéter des contre-vérités : la réalité est dans ces chiffres, et non dans la légende que vous nous vendez jour après jour.

Monsieur le rapporteur général, vous nous demandez où s'arrête le droit ? Pardon, mais nous savons très bien comment le droit tranche les cas d'intrusion dans des centrales nucléaires ! Les militants n'ont aucunement le droit d'y pénétrer. Ce sont des faits extrêmement graves, précisément parce qu'il s'agit d'endroits sensibles. Comme notre co...

Où s'arrête le droit ? Nous le savons très bien. La question est de savoir où il commence. M. Le Fur a évoqué l'agenda caché de ceux qui veulent remplacer la viande par de la viande de synthèse.

De même, on connaît parfaitement l'agenda caché de toutes ces associations antinucléaires, et l'identité des nations qui les ont financées, afin de lutter contre l'avantage concurrentiel dont notre pays bénéficie grâce au nucléaire !

L'avantage que pouvaient avoir nos entreprises gênait certaines nations concurrentes : elles ont financé ces associations afin d'attenter à l'image de l'industrie nucléaire. Mais je vais vous annoncer une nouvelle rassurante : elles seront toutes bientôt pronucléaires. J'ai lu cet après-midi que leur gourou, une gamine de 15 ans et demi a annon...

On débat énormément du système de retraite, mais jamais de certains éléments pourtant constitutifs de son équilibre. C'est le cas de la productivité, déplorable en France par rapport à la moyenne des autres pays de l'OCDE, de l'emploi ou encore de la natalité, dont il est question dans cet amendement. « La natalité », c'est devenu un gros mot....

Il est évident qu'il faut tenir compte de la nouvelle donne que constitue le taux de natalité très faible en France, en prenant des mesures pour faciliter la vie des familles. On me dit que le deuxième enfant importe peu, que c'est le troisième qui compte ; permettez-moi de vous rappeler qu'avant de faire un troisième enfant, il faut tout de mê...

La natalité est en baisse constante depuis cinq ans. J'entends vos arguments, monsieur le ministre délégué : vous demandez comment financer cette mesure, vous criez à la catastrophe lorsque nous proposons de baisser les impôts. Mais quid de la suppression de l'ISF ? Que croyez-vous qu'elle ait entraîné ?

Et la flat tax, qu'a-t-elle entraîné ? N'étaient-ce pas là des baisses d'impôts ? Croyez-vous qu'elles étaient véritablement justifiées ? La politique consiste certes à faire des choix. Pour notre part, nous assumons nos choix, et nous faisons celui d'aider les classes moyennes à améliorer leur niveau de vie ,

tout en ayant autant d'enfants qu'il leur conviendra. Quant à vous, vous avez décidé d'aider ceux qui n'en avaient pas besoin. Nos choix sont différents des vôtres, c'est pourquoi nous faisons partie de l'opposition.

Vous avez rappelé que lors de la discussion des amendements, vous donniez la parole à deux orateurs : un pour et un contre. Il me semble que M. Boyard s'est exprimé contre l'amendement n° 2733 ; cependant, quand j'ai levé la main pour le défendre, vous ne m'avez pas donné la parole.

Faire et défaire, c'est toujours travailler. Mais, quand j'entends les députés LR plaider, avec beaucoup de conviction d'ailleurs, pour le rétablissement de la demi-part, je ne peux que rappeler qu'on ne les a pas beaucoup entendus lorsque sa suppression a été décidée – non plus que les socialistes, du reste, qui ont appliqué cette suppression....

Si un nombre croissant d'enfants ont besoin de soutien scolaire, c'est probablement parce que l'école publique connaît des difficultés : c'est une évidence et je crois que nous serons tous d'accord sur ce point. Cela étant, dans la mesure où, contrairement à nombre d'entre vous, nous n'avons pas été au pouvoir, la responsabilité est plutôt la v...

S'agissant du présent amendement, déposé par M. Brun, il me semble purement idéologique. Et par un effet assez piquant et pervers, il est tout à fait contraire à l'idéologie que vous prétendez justement défendre. Au-delà de l'entreprise citée, qui accomplit le soutien scolaire ? Qui sont les salariés ? De jeunes étudiants, soit les personnes qu...

C'est également un moyen, offert à tous les enfants, de lutter contre le décrochage, ce qui est normalement conforme à vos valeurs. En défendant cet amendement, vous allez donc à rebours de votre pensée et soutenez une mesure injuste pour les familles et pour les enfants qui en ont besoin.

 « Protéger les Français et aller vers le plein emploi » : voilà le sous-titre de votre projet de loi de finances. Or, à sa lecture, nous ne pouvons que constater un abîme entre vos promesses et vos actes. Bien loin de la Renaissance, ce quinquennat s'ouvre dans une atmosphère de fin de règne. Votre budget ne montre qu'une seule chose : vous su...

Sur l'emploi, il faudrait instaurer la priorité nationale et le patriotisme économique, pour rompre avec la mondialisation sauvage et destructrice. Certes, vous avez fait un effort sur l'apprentissage, bien qu'il ne concerne pas assez les métiers industriels et artisanaux ; mais avec votre abandon de l'école, dans les emplois de demain, nous co...