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Les amendements de Jérôme Guedj pour ce dossier

22 interventions trouvées.

Vous aviez intégré la préférence nationale dans votre loi sur l'immigration, alors ne faites pas les marioles !

La loi sur le port des signes religieux à l'école a vingt ans. Merci à la commission Stasi, au Président Chirac et au législateur de 2004. « Les écoles doivent rester, disait Jean Zay, l'asile inviolable où les querelles des hommes ne pénètrent pas », ce lieu d'émancipation et de construction du libre arbitre fondé sur la raison, la science et ...

La bataille culturelle est bien là. Aujourd'hui, une majorité de jeunes pensent que la laïcité est une loi d'interdiction et pas une loi de liberté, ce qu'elle est pourtant. Il faut dire qu'elle a des adversaires, entre autres de faux amis qui l'instrumentalisent pour stigmatiser une seule religion, uniquement l'Islam, au nom de leur combat civ...

Elle a aussi évidemment des adversaires avérés, aussi farouches et qui, au nom de leurs revendications religieuses, la combattent : l'islamisme radical, à coups d'influenceurs et de réseaux sociaux, cible l'école car c'est la première ligne de la République. Face à la tentation du « pas de vagues » et du multiculturalisme différentialiste, l'u...

on ne fait pas de discours pour le ramadan dans les mosquées. Surtout, la promotion de la laïcité a besoin d'actes : la formation des enseignants à la pédagogie de la laïcité et les moyens pour la mettre en œuvre. On a besoin aussi de la mixité sociale à l'école et, au-delà même de l'école, d'une lutte effective contre les discriminations et du...

Vous nous trahissez ! Nous avons voté Macron pour faire barrage à Le Pen et vous nous trahissez ! Vous ne vous rendez pas compte !

Rien de concret ! Et la loi ? Vous avez enterré la proposition de loi sur le bien vieillir, voilà votre bilan ! Il n'y a toujours pas de feuille de route ministérielle alors que nous l'attendons depuis un an !

Madame la Première ministre, à en croire les journaux et certains de vos ministres, c'est peut-être la dernière fois que vous vous pliez à l'exercice des questions au Gouvernement.

Ce n'est pas le casting qui compte, mais le récit et les actes. Nous les cherchons, en vain. Après la désastreuse adoption au forceps de la contre-réforme des retraites, vous avez bricolé les « cent jours » avec le président Macron. Nous y voilà, et pour quels résultats ? Vous vouliez gagner du temps pour vous-mêmes, vous en avez fait perdre a...

Alors vous dites « on a délivré », reprenant la novlangue managériale de vos chers cabinets de conseil, mais vous avez délivré quoi au juste qui « change la vie des gens » – pour reprendre vos propres mots ?

Vous promettiez aux Français cent jours d'apaisement, vous les avez plongés un peu plus dans l'épuisement. Épuisement face à l'inflation et à la crise du pouvoir d'achat.

Épuisement social, évidemment, après la réforme des retraites. Épuisement face à la crise des services publics, qu'il s'agisse de la police ou de l'hôpital, où vous refusez à chaque fois de questionner les moyens, les méthodes d'intervention et l'organisation, alors même que la mort de Nahel ou la fermeture des urgences vous imposaient de le fa...

Épuisement bien sûr aussi de nos ressources, de notre biodiversité, de notre qualité de vie face à l'inaction climatique. Comme si cela ne suffisait pas, vous avez ajouté un épuisement démocratique, avec toujours plus de verticalité et la promesse enterrée de légiférer autrement, refusant nos propositions transpartisanes, comme celle de Guilla...

J'en viens à la seule question qui vaille : madame la Première ministre, pour vous et plus encore pour les Français, y a-t il une vie heureuse après les cent jours ?

Ma question s'adresse à Franck Riester, membre du Gouvernement qui nous dit la vérité sur la réforme des retraites.

 « Les privilégiés n'osant plus dire tout haut cela est juste, disent simplement cela est inévitable », mais « l'ordre social actuel est condamné par la conscience de tous ». Cette phrase est de Jean Jaurès qui, pardon de vous contredire, madame la présidente, était un socialiste authentique, un républicain affirmé, un député respecté :…

Car, voyez-vous, les Français ne vous croient pas. Non, votre réforme n'est pas inévitable. C'est au nom d'un choix politique et je dirais même idéologique que, pour la première fois lors d'une réforme des retraites, les entreprises ne sont pas mises à contribution, étant donné que vous faites reposer l'effort sur les seuls salariés. Nous avon...

Vous nous répondrez, comme l'a fait Gabriel Attal, que nous taxons, taxons, taxons. Mais ce sera pour mieux faire oublier votre obsession, qui vous conduit à exonérer, exonérer, exonérer.

Entendez le gouverneur de la Banque de France qui, au nom de la solidarité, exhorte à ce que cesse la course à la baisse d'impôt. Voulez-vous une solution ? Selon vos propres hypothèses, en 2030, il y aura un excédent de l'assurance chômage de 20 milliards d'euros et un déficit de l'assurance retraite de 15 milliards. Ne pourrions-nous pas com...

Votre deuxième postulat est de faire travailler plus pour produire plus. Mais que faites-vous de tous ces retraités qui participent à la vie sociale du pays ? Vous allez retirer deux années aux retraités pour la garde des enfants, pour…