J'en viens à M. Tanguy, qui aurait pu faire son mea culpa, mais ne l'a fait ni en commission ni dans l'hémicycle. Par un discours riche en effets de manche, il a cherché à se dédouaner des conclusions claires et sans équivoque de la commission d'enquête. Celle-ci a en effet établi que le Rassemblement national était la « courroie de transmission » de la Russie en France.