C'est pourquoi j'en appelle à ce que Malcolm Ferdinand nomme à juste titre une action « pour une écologie décoloniale ». Il faudra passer par une autorité indépendante pour assurer la réparation, la protection et la confiance. Nous ne sommes, je le crois, qu'au début de ce processus. Aussi aurai-je la responsabilité, au nom de la commission des finances, et dans le cadre du Printemps de l'évaluation, de mener des travaux à propos de l'efficacité des politiques publiques concernant le chlordécone et les sargasses, comme le prévoit le programme 162 de la mission "Cohésion des territoires" .
Et ce rapport sera rendu en mai prochain !
Si notre groupe GDR – NUPES apprécie les premiers pas de ce jour, il est clair qu'ils ne suffiront pas pour achever la longue marche permettant de retrouver confiance et d'assurer l'égalité entre tous nos concitoyens avec le respect et la dignité que l'État leur doit !