…plutôt que d'aller vivre dans la rue avec leur famille et leurs enfants.
C'est bien compréhensible. D'ailleurs, la vérité, c'est qu'à leur place nous ferions la même chose.
C'est pourquoi la possibilité de condamner ces personnes au bout de deux mois apparaît comme absolument insupportable, scandaleuse. Quand j'entends le Rassemblement national demander que ce délai soit réduit à quinze jours, j'ai l'impression d'être sur une autre planète.