La loi pénale n'a pas d'effet rétroactif et c'est heureux dans une démocratie. Nous légiférons donc pour l'avenir. La seule question que ce texte pose est la suivante : voulons-nous, oui ou non, que des personnes condamnées pour des violences aggravées, comme les violences intrafamiliales, les violences conjugales, les violences antisémites ou racistes puissent demain devenir des élus de la République ?