Je suis convaincue comme vous, monsieur le ministre, que les magistrats sont très bien formés à ces enjeux, du moins d'un point de vue théorique. Il s'y ajoute toutefois l'aspect pratique : comment écouter quand on sait que l'homme est souvent dans le déni ? Comment interroger pour parvenir à une déstabilisation propice aux aveux ?