Le sous-amendement n° 324 , que nous avons examiné précédemment, visait à remplacer le mot « charges » par le mot « obligations ». J'y vois une bonne occasion de réfléchir, précisément, à nos obligations. En tant que députés, nous sommes des élus du peuple, des représentants de la nation : nous nous réunissons pour défendre l'intérêt général.