Les amendements de Fabrice Brun pour ce dossier
17 interventions trouvées.
Monsieur le Premier ministre, les tracteurs sont tout juste rentrés dans les fermes de France et déjà les déclarations contradictoires des membres de votre gouvernement fusent dans le plus grand désordre.
Si vous pensez avoir berné les agriculteurs ou avoir acheté leur silence, vous faites une grave erreur. Soyez conscient que sans traduction de vos paroles en actes d'ici le Salon de l'agriculture, le retour de manivelle sera terrible : terrible pour notre agriculture et notre alimentation ; terrible pour notre économie, qui ne résisterait pas à...
Plus de rémunérations, moins de charges, moins de normes et un cap clair : pas d'interdiction sans solution. Stop à la surtransposition à la française. Arrêtez « d'emmerder » les agriculteurs et les éleveurs français !
Contrôlez plutôt les rayons et les containers. Nous n'en pouvons plus de cette concurrence déloyale, de ces produits qui ne respectent pas les mêmes normes que nous.
Juste échange, réciprocité des normes, exonérations de charges sur la main d'œuvre saisonnière et permanente, choc de simplification, réparation de l'injustice des retraites agricoles, prédation, gazole non routier (GNR), plan Écophyto, application stricte de la loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et aliment...
Comme pour l'eau, qu'il faut stocker l'hiver pour l'utiliser l'été, partout où c'est possible, et pas au cas par cas, selon le bon vouloir de votre administration.
C'est du bon sens paysan, comme les soixante propositions de notre livre blanc. La Gouvernement sera-t-il au rendez-vous des promesses au Salon de l'agriculture ? Vous êtes attendu au tournant !
Monsieur le ministre de la santé et de la prévention, début avril, vous affirmiez dans les médias qu'aucun service hospitalier ne fermerait.
Le problème, c'est que, depuis, des hôpitaux sont pour la première fois contraints de fermer leur service d'urgences la nuit, faute de médecins. Tel est le cas à Aubenas, où l'éloignement des centres hospitaliers universitaires (CHU) complique davantage la situation. C'est un bassin de santé où la vie de 100 000 habitants est mise en danger, où...
Et de grâce, épargnez-nous le couplet sur la transformation du numerus clausus en numerus apertus, qui ne change pas fondamentalement les choses ! Vous le savez, la réalité, c'est que nous ne formons toujours pas assez de médecins et de soignants.
Voilà six ans que votre majorité est aux manettes, alors finis le bricolage et les mesurettes ! Aux grands maux, les grands remèdes : mettez le paquet sur la formation, investissez dans les facultés de médecine, faites confiance aux jeunes Français méritants, qui sont aujourd'hui contraints de s'expatrier pour étudier – c'est tout de même un co...
Je vous remercie pour votre réponse, monsieur le ministre. Je ne remets pas en cause votre volonté d'avancer, mais il y a apparemment un petit décalage entre vos informations et la réalité du terrain. Je vous renouvelle donc mon invitation à vous rendre à Aubenas pour y constater les dégâts de votre politique.
Cent euros pour faire un plein, 2 000 euros pour remplir la cuve de fioul, 200 euros de plus par mois pour faire les courses… L'inflation galopante et les taxes plombent le pouvoir d'achat des Français et des spéculateurs sans scrupule se gavent au passage – c'est à croire que tout se fabrique en Ukraine et en Russie.
Madame la Première ministre, le budget des ménages explose. Il est temps d'agir vite et fort en revalorisant les pensions des retraités et des personnes en situation de handicap – vous le savez, nous nous battons depuis des mois pour revaloriser l'allocation aux adultes handicapés (AAH) –, mais aussi en baissant la contribution sociale générali...
–, et en fixant le prix des carburants à la pompe à 1,5 euro pour le neutraliser. Tous ceux qui ont besoin de leur voiture au quotidien, soit 80 % des Français, le savent : un litre de carburant, c'est 60 % de taxes. Madame la Première ministre, combien de temps encore allez-vous pomper des milliers d'euros sur le dos des Français ?
Je pensais que vous saviez compter comme moi, monsieur le ministre délégué ! L'État a enregistré 64 milliards de recettes fiscales supplémentaires en 2021 par rapport à 2017 puisque, je le rappelle, le Gouvernement avait augmenté de 20 centimes le prix des carburants au début du premier quinquennat Macron. Telle est la réalité de votre politiqu...
Plus de 50 milliards de recettes fiscales supplémentaires attendues en 2022 grâce à nos acteurs économiques, lesquels sont lourdement taxés mais vont au charbon tous les matins ! Alors stop à l'enfumage, rendez l'argent aux Français ! Le groupe Les Républicains formule des propositions très concrètes pour permettre des économies budgétaires. C...