Les amendements de Delphine Lingemann pour ce dossier
7 interventions trouvées.
Il prévoit l'élaboration d'un tronc commun d'enseignements de base visant à une acquisition de compétences équivalente sur l'ensemble du territoire, au sein de tous les établissements d'enseignement agricole. En cas de poursuite d'études, les prérequis fournis par les différentes formations doivent en effet être les mêmes. Dans les cas d'admiss...
Cet amendement vise, une nouvelle fois, à associer les représentants du monde agricole à la construction du contenu pédagogique. Je rappelle que l'objectif est d'adapter les programmes aux évolutions du monde agricole. Je ne reviens pas sur la nécessité de dispenser des conseils de perfectionnement, mais je précise que j'ai préparé cet amendeme...
Avec la rédaction actuelle de l'article, la délégation sous conditions d'actes vétérinaires n'est autorisée qu'en établissement de soins. Cet amendement vise à étendre ce dispositif aux exploitations agricoles pour les gestes les plus simples, comme les vaccinations. La liste des actes pour lesquels la délégation serait possible pourrait être f...
Madame Trouvé, en aucun cas, il ne faut opposer le public et le privé. Vous n'avez cessé de répéter que vous étiez enseignante, je le suis aussi, même si je ne le dis pas. Je vis les mêmes choses que vous.
Il vise à la création, au sein des établissements d'enseignement et de formation agricole, d'instances chargées d'observer l'évolution de la filière et d'adapter les maquettes pédagogiques, à la manière des observatoires des métiers, des conseils de perfectionnement, dans les écoles d'ingénieurs ou les universités. Elles permettraient, sur le f...
J'enseigne dans une école d'ingénieurs ; les industriels s'y réunissent, en l'occurrence au sein d'un conseil de perfectionnement, pour discuter de la maquette pédagogique. J'entends bien que vous ne souhaitez pas généraliser ces structures, mais elles constituent un bon outil d'adaptation de l'enseignement à l'évolution des métiers.
Je ne vais pas revenir sur les arguments de nos collègues. D'ici à 2030, 48 % des agriculteurs et des agricultrices actuellement en activité prendront leur retraite et il importe d'ajuster en conséquence les objectifs poursuivis par les politiques agricoles que titre I