Les amendements de Bruno Millienne pour ce dossier
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En revanche, une chose est sûre : votre contre-réforme, avec une retraite à 60 ans et 40 annuités – je ne sais pas comment vous comptez y parvenir puisque la loi Touraine a été votée –,…
Si vous prenez toutes les richesses de tous les milliardaires que vous vomissez et de leurs entreprises, il faudra moins de sept ans pour dépenser ce magot. Et après, il n'y aura aucune assurance concernant la pérennité du système de retraite par répartition.
Il se fonde sur l'article 70, alinéa 2, de notre règlement. C'est à vous que je m'adresse, madame la présidente : j'aimerais, pour garantir le calme de nos débats, que les interventions de nos collègues ne soient pas insultantes et que les orateurs de la majorité puissent s'exprimer dans le calme, afin d'être entendus – une règle que nous respe...
Ils continuent à vociférer, je les entends d'ici. Ils n'ont aucun respect pour ce Parlement, ils n'ont rien à faire ici !
Chers collègues communistes, je dois vous avouer que je perds mes repères. Je vais l'avouer devant cette assemblée : j'ai commencé la politique dans vos rangs, à la fin des années 1970. À l'époque, la doctrine consistait à combattre les privilèges, tous les privilèges ! Or monsieur Jumel, avec vos collègues du groupe GDR – NUPES, vous ne voulez...
Je m'y perds, dans votre doctrine ! Quant à vous, chers collègues du groupe Socialistes, vous parlez de constance des idées. La réforme Touraine, en 2014, c'est bien vous qui l'avez conduite ; que n'avez-vous mené le combat alignant tous les régimes sur celui de la RATP !
Pourquoi ne l'avez-vous pas fait ? Je ne comprends pas ! Permettez-moi de conclure avec un petit clin d'œil en disant : Liliane, fais les valises, ils sont devenus fous, on rentre à la maison !
Revenons sur les chiffres, et rétablissons certaines vérités. Nous parlons de pénibilité et de temps passé à la retraite après avoir exercé un métier pénible ou après avoir été en inaptitude ; à vous entendre, dans les deux ans qui suivent le départ à la retraite, les salariés concernés sont tous morts. Or voici ce que disent les chiffres de la...
Je tenterai d'apaiser le débat, en espérant ne pas être coupé par les vociférations des députés de la NUPES, qui n'écoutent qu'eux-mêmes et non les autres orateurs – mais nous y sommes habitués. Ce que je viens d'entendre à propos du travail est scandaleux. Je pense que plus de 90 % des élus qui siègent dans cet hémicycle ont connu la vie, le t...
D'autant moins qu'il existe parmi les leaders de certains groupes ici des gens qui n'ont jamais connu le travail et qui partiront avec une retraite plafonnée à 15 000 euros par mois !
Vous voyez de qui je parle. Quand on défend les travailleurs, il faut savoir ce qu'est le travail. Apparemment, certains dans cet hémicycle ne le savent pas.
La pénibilité dans le travail est une question majeure, qui occupe une place centrale dans le texte. Je regrette simplement – et nous le disons depuis plusieurs interventions déjà – que nous n'abordions pas ce sujet au bon moment, puisque les dispositions relatives à la pénibilité figurent à l'article 9. Si nous pouvions avancer jusqu'à cet art...
Il me semble que l'honneur de cette assemblée serait sauvé si, à défaut de terminer l'examen du texte, nous débattions au moins des articles 7 et 9.