Les amendements de Benjamin Lucas-Lundy pour ce dossier
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La billetterie nominative, dématérialisée et infalsifiable ne doit pas concerner des événements sportifs de clubs intermédiaires. Sa mise en place est lourde, compliquée et onéreuse. Eux aussi lourds et complexes, les moyens de vérification sur place seront donc impossibles à mettre en place ou confiés à des organismes de sécurité privés. En ou...
Il s'agit d'un amendement de notre collègue Eva Sas, dont je vous prie de bien vouloir excuser l'absence. L'article 14 A prévoit que la Cour des comptes remet au Parlement, avant le 1er octobre 2025, un rapport sur l'organisation, le coût et l'héritage des Jeux olympiques et paralympiques de 2024. Ce rapport précise le montant des dépenses eng...
Nous avons cru que c'était une annonce ! Voilà pourquoi M. Darmanin n'est pas là ! D'ailleurs, M. Houlié est parti ; c'est peut-être lui, le nouveau Premier ministre ?
Les pouvoirs de police sont théoriquement répartis entre l'État et les collectivités territoriales mais, pour l'organisation des JOP, l'État décide seul de mesures au coût potentiellement très élevé. C'est donc à lui de supporter la charge de leur financement. En conséquence, il serait bon que la Cour des comptes vérifie que les dépassements bu...
Monsieur le ministre, ma grand-mère me rappelait souvent que prudence est mère de sûreté. J'invite donc mes collègues à ne pas jouer aux apprentis sorciers avec cet article. Nous parlons de libertés publiques et d'État de droit au moment où la Défenseure des droits, face à votre maintien du désordre dans les manifestations, s'inquiète du respec...
Monsieur Maillard, c'est vous qui n'aimez pas les policiers quand vous les envoyez faire la sale besogne de réprimer le mouvement social !
Je disais donc – en espérant, madame la présidente, pouvoir poursuivre dans le calme – que mettre en place des outils dangereux pour les libertés publiques et pour l'État de droit ne doit pas se faire comme le propose l'article 7. Il y a toujours un prétexte : ici, ce sont les Jeux olympiques, dehors, on prend le prétexte de quelques vitrines c...
Cher collègue, détendez-vous. Monsieur le ministre, vous n'êtes pas éternel. Un jour viendra où vous ne serez plus ministre de l'intérieur ni ex-futur Premier ministre.
Malheureusement, à cause de votre politique de la terre brûlée, on peut craindre de voir arriver au pouvoir des gens moins bien intentionnés que celles et ceux qui se trouvent dans l'arc républicain.
Que feront-ils des outils que vous aurez mis à leur disposition ? Qu'est-ce qu'un comportement dangereux ou menaçant pour un raciste, pour un xénophobe ou pour un homophobe ? Voilà le risque que vous faites courir au pays tout entier !
Je me fonde sur l'article 70, alinéa 3, du règlement. Tout à l'heure, un député de la majorité – j'ai cru reconnaître, à la douce mélodie de sa voix, qu'il s'agissait de M. Maillard – m'a accusé de « ne pas aimer la police ».
Au-delà de l'injure ainsi faite à l'arrière-petit-fils de gendarme que je suis, j'appuyais mon propos sur le fait que la Défenseure des droits s'est sentie obligée de rappeler ce soir ses recommandations en matière de respect des règles déontologiques par les forces de sécurité.
Je m'interroge donc : après avoir insulté les Français, les parlementaires, les syndicats, la majorité va-t-elle insulter la Défenseure des droits et lui reprocher de ne pas aimer la police ?
Pour cela, le mieux serait que vous retiriez votre réforme. Vous semez le chaos, les coups de matraque ! Quant aux policiers, vous les saluerez de ma part !
Cela ne vous surprendra pas : les « à ce stade » et les déclarations du ministre ne nous convainquent pas. Nous n'avons pas confiance dans la parole de ce gouvernement. L'article 6 remplace les mots « enregistrements visuels de vidéoprotection » par les mots « systèmes de vidéoprotection ». Ce changement de formulation introduit un flou juridi...