Publié le 9 novembre 2022 par : Mme Regol, M. Iordanoff, M. Lucas, Mme Arrighi, M. Bayou, Mme Belluco, M. Ben Cheikh, Mme Chatelain, M. Fournier, Mme Garin, M. Julien-Laferrière, Mme Laernoes, Mme Pasquini, M. Peytavie, Mme Pochon, M. Raux, Mme Rousseau, Mme Sas, Mme Sebaihi, M. Taché, Mme Taillé-Polian, M. Thierry.
Après l’alinéa 435, insérer les deux alinéas suivants :
« Le soutien psychologique peut également se faire auprès d’un psychologue extérieur.
« Les proches des forces de l’ordre peuvent également être pris en charge par un soutien psychologique. »
A travers cet amendement nous demandons que les policiers et policières est accès aux psychologues indépendant afin de garantir la discrétion à cette demande d’aide, notamment dans cette profession, où parfois la carapace des agents est tellement dure qu’il est difficile de reconnaître que l’on a besoin d’aide et que le regard des autres peu biaisé.
Nous demandons à ce que les familles puissent être prise en charge par un suivi psychologique car dans certains cas, le traumatisme que peut subir sur son lieu de travail une personne réagit sur son entourage.
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