Discussion d'une proposition de loi — Texte n° 2634

Amendement N° 508 (Rejeté)

(1 amendement identique : 1467 )

Publié le 21 mai 2024 par : M. Di Filippo, Mme Blin, M. Brigand, M. Hetzel, Mme Anthoine, M. Bazin, M. Cordier, Mme Corneloup, M. Juvin, M. Ray, M. Gosselin, Mme Bonnet, Mme D'Intorni, Mme Valentin, M. Breton.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia 
Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia 

Texte de loi N° 2634

Article 1er (consulter les débats)

À la deuxième phrase de l’alinéa 6, supprimer les mots :

« sa dignité, ».

Exposé sommaire :

La dignité d’une personne lui est inhérente. Parler de « préserver la dignité de la personne », revient à dire qu’une personne peut perdre sa dignité quand elle atteint un certain état, un certain niveau de souffrance ou de dépendance, ce qui envoie un signal dramatique à l’ensemble des personnes vulnérables et risque de faire peser sur elles une importante pression sociale, les poussant à se sentir indignes de vivre. Dans les pays où l’euthanasie est légalisée, on assiste à une diminution de la part de malades cancéreux (75 à 50 % en Belgique) et à une augmentation de la part de sujets âgés dans le profil des patients qui sont euthanasiés. En Oregon, la crainte d’être un « fardeau » est citée par 46 % des cas en 2022 (contre 30 % des cas au début de la législation en 2010).

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.

Inscription
ou
Connexion