Interventions sur "motion"

149 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

…ceux qui expriment leur honte à l'égard de certains membres de leur famille politique prêts non seulement à voter une motion de censure transpartisane, mais à le faire aux côtés de l'extrême droite.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

J'assume, nous assumons, de défendre ce texte. Lors de la présentation des motions de censure, nous avons de nouveau entendu de fausses vérités sur l'état des comptes publics. Quel dommage venant de quelqu'un qui, comme Charles de Courson, a passé toute sa carrière et sa vie politique – sept mandats parlementaires ! – à parler de la restauration des comptes publics ! Sans cette réforme, nous aurions accumulé dans dix ans 150 milliards de déficit ! Telle est la vérité, et vous ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

…pour ou contre la motion de censure, il y aura un après, qui relève de notre responsabilité. Pendant les débats dans cet hémicycle, combien de fois avons-nous été interpellés par des Français qui nous écrivaient ou nous disaient directement : « J'ai honte de regarder ces débats et de voir ce que l'Assemblée est devenue. »

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Des haussements de sourcils, des rires narquois, des injures : voilà, au mieux, ce que vous récoltez dans le pays. Jamais un président n'avait voulu gouverner avec autant d'aplomb, par la colère et le dégoût. À présent, deux Français sur trois veulent que la motion de censure aboutisse, pour faire chuter le Gouvernement avec sa réforme.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Madame la Première ministre, vous ne pourrez rien face à ceux qui font tout. Peu importe l'issue de la motion de censure, vous avez déjà perdu.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

L'intersyndicale donne rendez-vous jeudi pour la motion de censure populaire. Nous parlerons de votre réforme au passé, car ce n'est qu'une question de jours avant que vous ne reculiez enfin. Malgré vos efforts, personne ne se laissera envahir par le dégoût. Chacune de vos paroles est un antidote à l'impuissance et à la résignation. Le désir de battre Emmanuel Macron et sa réforme est devenu contagieux.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Marleix :

Ceux qui ont signé ensemble ces motions de censure sont incapables de concevoir ensemble un tel projet pour répondre aux défis de notre pays. Que feriez-vous en matière d'immigration, puisque les uns pensent exactement le contraire de ce que pensent les autres ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Mattei :

Aboutissement institutionnel attendu compte tenu de la configuration de notre assemblée, ces motions de censure s'accompagnent d'une somme de regrets que je voudrais exprimer ici au nom de mon groupe.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Mattei :

Motions, prises de parole identiques à répétition, comportements empreints d'une forte violence symbolique, rappels au règlement et, surtout, plus de 20 000 amendements : vous avez fait flèche de tout bois pour empêcher la tenue de nos débats.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Mattei :

Je ne parle pas de l'opposition qui n'avait pas de projet, si ce n'est se cacher derrière une forme de respectabilité pour déposer à la fin une motion de censure, en espérant que personne ne remarquerait son absence de propositions.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

Les députés du groupe Socialistes et apparentés voteront cette motion de censure transpartisane.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Marcangeli :

Nous sommes à un moment particulièrement grave de notre histoire commune. Sans grandiloquence ni fausse émotion, je crois pouvoir dire que notre pays traverse une crise de confiance sérieuse, dont le climat dans notre assemblée témoigne clairement. Chacun de nous devra faire un choix en responsabilité : voter cette motion de censure, c'est faire tomber le Gouvernement et ainsi ajouter du désordre au chaos. Chacun des membres de la représentation nationale s'exprimera en son âme et conscience. Une fois ce...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Marcangeli :

Depuis le début de la législature, l'opposition a recours, dans son bon droit, aux outils de procédures les plus spécifiques autorisés par nos textes : motion de rejet préalable, motion référendaire, motion de censure. Le Gouvernement n'est pas à l'initiative de tout cela, pas plus qu'il n'est responsable du refus de délibérer qui nous a empêchés d'examiner sereinement et entièrement ce texte en première lecture.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Marcangeli :

Nous avons devant nous deux motions, l'une d'opportunité, l'autre partisane. L'adoption de l'une ou l'autre peut déstabiliser notre système démocratique et surtout nuirait au système de retraite et à sa pérennité en poussant à l'emprunt illimité sur les marchés financiers, dont certains disent pourtant vouloir s'émanciper.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Marcangeli :

Par le vote des motions de censure, vous légitimez le comportement des députés qui brandissent des pancartes dans cet hémicycle, huent le Gouvernement comme dans un stade, couvrent la voix de la Première ministre ou font encore mine de découvrir le fonctionnement d'une commission mixte paritaire.