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J'aimerais vous interroger, madame la ministre déléguée, sur un sujet que vous connaissez bien : les difficultés croissantes rencontrées par les collectivités territoriales pour souscrire un contrat d'assurance. Dans la troisième circonscription du Haut-Rhin, que j'ai l'honneur de représenter, ce problème touche un nombre croissant de communes aux profils pourtant variés, et l'on voit aussi bien Saint-Louis, qui compte 23 000 habitants, que Durmenach...
Madame la ministre déléguée, savez-vous quel effet ça fait d'être réveillé au milieu de la nuit par un avion qui décolle ?
... enquête publique, ne vise même pas à rendre réellement impossibles les infractions au couvre-feu. Quand l'État sera-t-il enfin au rendez-vous ? Quand prendra-t-il enfin en considération le quotidien des riverains ? J'insiste, et le territoire avec moi : seul un arrêté strict et élargi empêchera formellement les infractions et permettra au couvre-feu de protéger la santé des riverains. Madame la ministre déléguée, je me fais l'écho de la voix de ma circonscription : quand cesserez-vous de défendre les intérêts économiques au détriment de la santé ? Quand agirez-vous pour protéger la santé ?
...qui ne se traduisent pas dans les faits. Afin d'achever le projet et de respecter au mieux son objectif initial, la ville de Saint-Paul attend 21 millions d'euros de la part de l'État. Les demandes de la commune ont déjà reçu plusieurs avis défavorables, ce qui est incompréhensible. Pour permettre à 242 familles d'accéder à un logement décent, 7 millions d'euros sont attendus en 2024. Madame la ministre déléguée, le constat est clair : quand l'État se désengage, les collectivités ne peuvent plus tenir.
...e se retrouver dans le rouge, puis à la rue. En 2017, Emmanuel Macron promettait que, « d'ici la fin de l'année », plus aucune personne ne serait à la rue. Nous sommes en 2024 : quel résultat ? Vous avez annoncé l'année dernière un nouveau plan quinquennal pour 2023-2027, Logement d'abord, qui vise à accompagner les personnes sans domicile vers le logement. Quel bilan revendiquez-vous, madame la ministre déléguée ? Quelle place accordez-vous aux outre-mer et à La Réunion en particulier ? Allons-nous laisser d'autres personnes mourir dans l'indifférence ? Ne faut-il pas une obligation d'accueil de toutes les personnes à la rue, comme cela se pratique dans de nombreux pays du Nord ? En Angleterre, par exemple, l'ensemble des personnes dites vulnérables sont prises en charge. Madame la ministre déléguée, au...
Madame la ministre déléguée, je vous remercie pour votre réponse, mais la réalité, c'est que 1 600 personnes vivent toujours dans la rue, dans une situation de détresse, où elles subissent des violences. Les mairies, dites-vous, sont chargées d'accueillir les personnes mal logées ou sans domicile fixe. Mais, en cas d'alerte rouge ou violette, les secours sont également confinés et ne peuvent pas agir, de sorte que ces gens ...
...gration des personnes d'origine étrangère, qui font la richesse de notre pays. La migration ne doit pas se résumer à des chiffres et à des statistiques : ce sont des milliers de trajectoires individuelles qui constituent les parcours migratoires. Ces parcours sont une richesse ; les sociétés les plus inclusives sont les plus innovantes et les plus résilientes. Je vous vois acquiescer, madame la ministre déléguée, mais les délais sont bien ceux que je viens de décrire. C'est pourquoi je vous demande quelles actions le ministère de l'intérieur compte entreprendre pour garantir le respect des délais de la procédure de naturalisation par décret.