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...M. Le Maire. Après la grande braderie fiscale du premier quinquennat et le « quoi qu'il en coûte », lequel n'a été ni ciblé ni soumis à conditions, le déficit s'avère toujours très important. Si nous craignons ce déficit, ce n'est pas parce qu'il pourrait conduire à discréditer la France sur les marchés financiers ou auprès des agences de notation, ni même à accroître sensiblement le coût de l'endettement. Malgré les dires de M. Le Maire, il est désormais clairement établi que l'explosion de la charge de la dette, à laquelle nous faisons face, n'est en fait due qu'au recours excessif aux OAT indexées, énième démonstration de votre piètre qualité de gestionnaire. Non, si nous craignons ce déficit, c'est parce que nous savons que, par la suite, vous l'instrumentaliserez pour justifier vos mesure...
...fin, les impôts ont été baissés, de manière égale, pour les particuliers et pour les entreprises. Dites-nous clairement si vous souhaitez augmenter les impôts des particuliers. S'agissant de ceux des entreprises, je vous renvoie aux résultats concrets de notre politique économique. Monsieur Brun, la semaine dernière, dans le cadre du Printemps de l'évaluation, nous avons longuement débattu de la dette. Dans le cadre de l'examen du PLF, nous organisons un débat sur la dette. Vous ne pouvez parler d'emprunts toxiques – les mots ont un sens –, il s'agit d'emprunts à taux variable. Vous savez que c'est la gauche, lorsqu'elle était au pouvoir en 1998, qui les a lancés pour la première fois. Lorsque la NUPES, en particulier le Parti socialiste, est revenue au pouvoir, elle n'a pas mis un terme à cet...