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Il faut donc en débattre. Avez-vous été élu, monsieur Olive, pour le cumul des mandats ? Non, ce n'est pas vrai, j'ai vérifié ! Cela ne figurait pas dans vos tracts !
Au moment où vous vous apprêtiez à me donner la parole, j'ai demandé si Mme Rilhac était pour ou contre l'amendement car j'ai du mal à comprendre. Le Président de la République a affirmé qu'il était opposé au cumul des mandats. Dans la majorité, je ne sais pas qui est pour et qui est contre – je me posais la question.
...? Nous avons besoin d'une réponse pour fixer notre vote. C'est vrai – vous l'avez dit, madame la présidente –, cela ne fait qu'un an et demi que nous sommes là, mais j'ai la chance d'avoir été élu dans une circonscription qui comptait autrefois de nombreux parlementaires cumulant des mandats. Il faut bien dire que – pour une fois, je vais dire du bien du Président de la République – supprimer le cumul des mandats, c'est aussi permettre à certains de devenir députés !
Vous vous demandez pourquoi nous sommes contre le cumul des mandats, mais regardez-vous !
Je ne reviendrai pas sur la qualité des débats mais souhaite insister sur le fait que le groupe Renaissance est libre de son vote et a mené une réflexion approfondie sur le cumul des mandats. Ce débat est noble. Nous avons échangé nos points de vue, au début de l'examen du texte, sur l'opportunité de cumuler plusieurs mandats. On le sait pour en discuter avec nos concitoyens, cumuler la fonction parlementaire avec des mandats comme la présidence d'une région ou celle d'un EPCI n'est pas bien perçu, mais la question pourrait se poser pour d'autres mandats et nous devrons y revenir. Da...
Je crois que M. Maillard se trompe ou pose mal le problème. La question n'est pas celle du retour du cumul des mandats mais plutôt celle du non-cumul et de la manière d'exercer sa fonction de parlementaire dans les territoires. Cela n'a rien à voir avec le cumul des mandats de parlementaire et d'exécutif local, dont nous ne voulons pas entendre parler.