Les amendements de Tematai Le Gayic pour ce dossier
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Monsieur le ministre de l'intérieur et des outre-mer, depuis plusieurs mois, et cette semaine encore, vous avez reçu des maires des Henua Enana, les îles Marquises. Ils souhaitent la création d'une communauté d'archipel des îles Marquises, en espérant qu'elle puisse se voir attribuer des compétences élargies et surtout des financements plus imp...
Vous n'avez pas répondu à ma question, laquelle portait sur l'application d'un code des communes polynésien plutôt que le CGCT. Quant aux îles Marquises, il faut être clair : nous ne souhaitons pas finir comme les Comores et Mayotte ; la Polynésie, qu'elle devienne ou non indépendante, doit rester unie, parce que le peuple maohi est uni.
Madame la Première ministre, avec tout le respect que je vous dois, vous êtes-vous déjà douchée avec de l'eau saumâtre ?… Le silence est d'or. L'eau saumâtre est une eau salée dégageant une odeur nauséabonde, et c'est le quotidien des habitants de l'archipel des Tuamotu et particulièrement des élèves de l'internat du collège de Rangiroa, faute...
L'accès à l'eau potable fait pourtant partie des droits humains reconnus à l'échelle internationale et découlant du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, texte ratifié par la France en 1980. Quarante-trois ans plus tard, pénurie et stress hydrique continuent d'être le quotidien des habitants de Saint-Laurent-...
Il faut des financements supplémentaires, particulièrement en Polynésie, car les communes ne peuvent pas lever l'impôt et sont dépendantes des fonds de l'État et du pays maohi. Il serait inélégant de ma part d'évoquer ce sujet sans remercier les ministres Darmanin et Vigier qui font la tournée de nos territoires en ce moment, mais les solution...
Ia Ora Na. Hier, les outre-mer et les jeunes étaient les deux grands absents du projet de loi sur la protection du pouvoir d'achat. L'enseignement supérieur étant une compétence de l'État, je vais aborder le thème de la précarité étudiante en Polynésie, où seuls 30 à 35 % des néobacheliers accèdent aux études supérieures – c'est deux fois moin...
Merci pour ces réponses. J'espère que vous mettrez un point d'honneur à appliquer ces mesures, parce que les chiffres sont les suivants : 50 % de la population polynésienne a moins de 35 ans ; la moitié vit sous le seuil de pauvreté, avec moins de 300 euros. Mauruuru.