J'ai demandé à prendre la parole, car j'ai une pensée pour un père de famille de Villers-Cotterêts qui, il y a deux ans, lors d'un convoi de mariage, a été agressé par des personnes du cortège simplement pour avoir demandé que ces derniers ralentissent leurs véhicules – ils roulaient à une vitesse excessive et faisaient n'importe quoi sur la route. Les auteurs de ce méfait ont été jugés, madame Faucillon, mais la procédure n'a pas donné grand-chose.