Nous regrettons qu'il n'y ait pas d'effort de rationalisation, notamment pour les autorités indépendantes et assimilées. Nous ne contestons pas les besoins du SGDSN, la protection numérique des services de l'État demeurant assez faible : chacun sait qu'un certain nombre de ses systèmes présentés comme sûrs ont été pénétrés – du reste, les Américains ont des problèmes analogues. Notre groupe votera donc les crédits de la mission, avec des réserves.