La communication des deux co-rapporteurs marque la fin du contrôle parlementaire de l'état d'urgence. De nombreuses questions restent sans réponse ; on ne sait pas, par exemple, ce qui a été saisi grâce aux perquisitions. Cela ne mérite-t-il pas une nouvelle audition du ministre de l'Intérieur ? Qu'en est-il de la suite du contrôle parlementaire ?