Nous sommes là dans une logique de la toute-puissance de l'individu. Il y a quelques années, dans la salle Colbert, tout près de cet hémicycle, Didier Sicard nous rappelait qu'il y a deux moments d'extrême fragilité dans la vie d'un homme, moments où sa nature sociale est la plus apparente : les premières heures de la vie, et les dernières heures de la vie. Dans les deux cas, nous avons besoin d'eau, d'amour et de chaleur. Plutôt qu'une ultime liberté, je préfère promouvoir ce grand besoin de sollicitude.