On nous rebat les oreilles avec le risque que courraient nos finances publiques si les personnes pouvant être imposées par l'ISF quittaient la France, mais ce n'est pas vrai !
Et il y a 10 millions de pauvres dans notre pays !
La suppression de l'ISF a enfin profondément détérioré la progressivité des prélèvements obligatoires.
Il y a une nécessité et une exigence, c'est la justice fiscale, par le respect de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen sur la juste contribution de chacun selon ses capacités contributives.