La définition de la souveraineté alimentaire défendue par ces amendements est six fois plus courte que celle proposée par M. Alfandari ; elle en reprend l'essentiel et ne la contredit sur aucun point ; elle n'est pas bavarde mais synthétique, fait référence aux objectifs de développement durable, aux principes défendus par l'ONU et par les institutions européennes ; elle est solide et susceptible de nous rassembler. .