Il n'a pas écouté ce qu'avaient dit les Français.
Pour terminer, j'évoquerai le clivage qui s'est fait jour dans les débats en commission. La majorité relative n'a pas réellement ferraillé sur le fond, sentant bien qu'il y avait un décalage entre la promesse des Marcheurs de 2017, qui était de renouveler la vie démocratique française, et la pratique quelque peu solitaire et brutale du Marcheur en chef.
Le RN a adopté une posture tout autre, assumant un césarisme décomplexé. Nous l'avons entendu affirmer que la légitimité du Premier ministre procédait du chef de l'État et non de l'Assemblée nationale. C'est là la marque d'un parti qui a pleinement intériorisé la dévaluation du Parlement,…