Ce faisant, vous avez déjà, d'une certaine façon, participé à la transition écologique de la nation.
Sur le sujet de l'agroécologie, il est possible de travailler de manière transpartisane : j'ai rendu il y a quelques semaines un rapport rédigé avec un collègue de la NUPES, Rodrigo Arenas. Nous avons travaillé sur le sujet de la souveraineté alimentaire européenne et nous sommes parvenus à des points de convergence. J'ai pu écrire, et je l'assume, que « la transition agroécologique est la condition à la fois d'un niveau de production satisfaisant et d'une véritable souveraineté alimentaire européenne. En effet, l'exploitation non durable des ressources nécessaires à la production agricole, telles que les sols et l'eau, est préjudiciable pour les rendements à moyen terme. Cette approche ne signifie toutefois pas que l'Union doive renoncer à nourrir nos concitoyens en quantité et en qualité suffisantes ».
L'avenir de l'agriculture est de se diriger progressivement vers une meilleure utilisation de nos ressources et une diminution, progressive et acceptable, de l'utilisation des produits phytosanitaires. Cet article est donc très intéressant.